Hiboux Nomade Notes
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A l'Abri des Regards

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Isara

Ancien(ne)





MessageDate du message: Mar. 05 Fév 2013, 16:50  Répondre en citant

// La petite puce, enfin surtout en âge mais pas vraiment en taille, continua à affronter le regard et le sourire narquois de son vis à vis. Elle sentait qu'elle ne devait pas faiblir, si elle ne voulait pas perdre. Par contre, elle n'avait pas vraiment idée de ce qui était en jeu, encore trop jeune et innocente. //

- Plus juste peut-être, mais là n'est pas la question. Ce que je te dis pourrait t'aider, petite. Certains pourraient êtres moins indulgents que moi là dessus, et les traditions sont parfois considérées comme... primordiales. Prends cette leçon, comme un cadeau de bienvenue si tu veux. Ta réponse serait appréciée maintenant, bien que je doute connaitre ta famille, sinon tu n'aurais pas eu besoin que je t'explique tout cela.

// Katerina faillit éclater de rire, mais elle se retint et se contenta d'un sourire. Le charmant jeune homme était issu d'une des très vieille et surtout très rare famille de sorcier au sang pur. Leurs traditions étaient, en effet, connues mais aussi désuètes du fait du peu de sorcier au sang encore entièrement pur. Elle comprenait mieux maintenant l'assurance de son camarade. //

- En effet, tu ne peux connaître ma famille, à part peut-être ma soeur qui est en cinquième année. Du coup, mon nom n'a aucun intérêt pour toi et je n'ai pas besoin de te le révéler.

// La Bleue-et-Bronze avait conscience de jouer un jeu dangereux, en tenant tête au Serpentard. Du coup, elle resta sur ses gardes, prête à répliquer de quelque manière que ce soit. Elle ne devait pas laisser ses émotions guider ses paroles et devait peser chaque mot qu'elle allait prononcer dorénavant. //


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MessageDate du message: Mer. 13 Fév 2013, 12:43  Répondre en citant

    Le hurlement d'une élève de Serpentard qui venait de s'apercevoir qu'on avait fait disparaître dans un sort ses sept rouleaux de parchemins qu'elle rédigeait depuis trois bonnes heures ne fit même pas ciller le Préfet de Serpentard. Il n'était pas inhabituel de le trouver dès cinq voire quatre heures du matin dans la salle commune en train de travailler, et il n'était pas non inhabituel qu'il soit accompagné d'autres élèves tous aussi matinaux. Pour la petite histoire, le sortilège qui avait fait brûler les parchemins était sorti de la baguette d'Amarel, ce dernier voulant vérifier sa parfaite maîtrise de l'incendio, et la Serpentard l'ayant vexé pas plus tard que la veille lorsqu'elle l'avait surpris en train de se faire réprimander par sa mère adoptive et l'infirmière parce qu'il ne mangeait toujours pas assez.

    Bref. Amarel ne cilla même pas, et contempla la copie qu'il tenait entre ses mains. Piètre. Piètre. Piètre. Piètre. Ce mot résonnait aux oreilles d'Amarel comme une chanson d'un film d'horreur qui vous restait sans la tête sans donner signe d'une quelconque envie de vous épargner. Piètre. Un tel résultat lui était si inhabituel, lui qui excellait naturellement dans bien des domaines magiques, et qui travaillait suffisamment dans les autres pour compenser, qu'Amarel n'arrivait pas à s'ôter de la tête qu'il l'avait eu. Ses yeux allaient de sa copie à la note, de la note à sa copie, sans interrompre leur ballet d'étonnement et de déception.

    Piètre.

    En sortilèges, en plus, ce qui lui avait valu un regard narquois et attristé en même temps de July qui avait amplement mérité son Optimal. Le rouge qui barrait, raturait, rayait des lignes entières de parchemin obnubilait Amarel qui n'arrivait pas à passer au dessus. Il fallait qu'il reprenne son devoir, pour ne pas revivre le même sentiment de nullité absolue comparable à celui que devait sentir tous les matins les Poufsouffle. Qu'avait il écrit déjà ? Le sortilège de lévitation ne peut pas s'appliquer aux vertébrés de la classe X dans la classification officielle des animaux magiques puisqu'ils entrent en conflit avec les flux latents de magie qui circulent dans les...... c'était confus, mal écrit et accessoirement aussi réaliste que si un elfe commençait à déclamer du Voltaire en dansant la salsa sur la table des Poufsouffle au milieu de la Grande Salle. Amarel roula le parchemin, s'empara d'une plume, d'un flacon d'encre et saluant au passage quelques Serpentard qui erraient dans la Salle Commune, sortit des cachots pour se diriger vers le Parc de Poudlard. Ce n'était pas qu'il n'aimait pas la salle commune des Vert-et-Argent mais il commençait à y avoir un peu trop de monde, d'agitation, et prendre l'air, il n'y avait rien de mieux pour se changer les idées et reprendre au calme son devoir.

    Lorsqu'il sortit dans le Parc de Poudlard qui se réveillait doucement, Amarel fut surpris par la fraicheur de l'air, et avisa la chemise toute simple qu'il avait passée et qui n'était assurément pas très chaude. Haussant les épaules, il ne fit pas pour autant demi-tour puisque de toute manière, il aimait avoir froid, et avait une résistance à la température plus élevée que les autres élèves, sûrement du fait de son ascendance nordique. Son chien courrait autour de lui, faisant fleurir sur ses lèvres pincées un petit sourire amusé. En arrivant à son endroit préféré pour se poser, Amarel entendit des éclats de voix et son sourire s'évapora comme brume au soleil.

    Non mais je rêve, on est tranquille nulle part dans cette école !

    La remarque lui avait échappée sans qu'il ne puisse, voire ne veuille, la retenir. Rapidement, Amarel reconnu l'élève le plus âgé qui était dans son année, et qu'il avait brièvement croisé tout à l'heure. La jeune fille, d'une douzaine d'année à première vue lui était cependant inconnue, et donc n'était pas de la maison des Serpents. D'un signe de tête, Amarel salua son condisciple qu'il ne connaissait cependant pas plus que ça, avant de s'adresser à la plus jeune.

    Del Gassia, bien matinal à ce que je vois... Qu'est ce que tu fous dehors ? Et toi, quelle maison ?

    Amarel, s'il s'écoutait, avait bien l'intention de les faire virer bien vite de son coin à l'abri des regards pour être un peu tranquille et jouer avec Håp qui, d'ailleurs, renifler les pieds des deux élèves comme pour les juger. Mais il n'était pas un Serpentard pour rien, et donner des retenues sans raison, ce n'était pas son genre. Une retenue, c'était facile à trouver, mais il fallait qu'il puisse la justifier devant les directeurs de maison, ce qui était une autre paire de manche.


Dernière édition effectuée par Marelle (Mer. 13 Fév 2013, 12:47) ; édité 2 fois

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Flambya

Ancien(ne)





MessageDate du message: Mer. 13 Fév 2013, 14:06  Répondre en citant

- En effet, tu ne peux connaître ma famille, à part peut-être ma soeur qui est en cinquième année. Du coup, mon nom n'a aucun intérêt pour toi et je n'ai pas besoin de te le révéler.

// Gabriel était en train de toiser la gamine qui lui tenait tête depuis tout à l'heure et se demandait comment la raisonner avant qu'il ne se lasse et devienne un peu plus violent, verbalement, quand il entendit une exclamation derrière lui. //

Non mais je rêve, on est tranquille nulle part dans cette école !

// Il se retourna pour voir son préfet, Amarel Prince. Il ne le connaissait pas personnellement mais avait évidemment beaucoup entendu parler de lui. Et là, il avait l'air de mauvaise humeur. A prendre avec des pincettes, donc.
Peut-être pour la même raison que lui, même s'il en doutait. Il l'avait vu brièvement dans la Salle Commune en sortant, et celui-ci était penché sur une copie. Bof, pour ce qu'il en avait à faire de toute façon. Sauf si celui-ci se décidait à passer ses nerfs sur lui. Ce n'est pas parce que Gabriel s'autorisait à le faire, qu'il appréciait en être la victime.
Sans qu'il n'ait eu le temps de rien répondre, celui-ci enchaîna. //

Del Gassia, bien matinal à ce que je vois... Qu'est ce que tu fous dehors ? Et toi, quelle maison ?

// Décidément, ce n'était pas sa matinée. Il aurait du rester couché. Ah oui, il n'avait pas pu. A cause d'une gamine au hurlement plus perçant qu'une chauve-souris. Et tout semblait empirer, sa mauvaise humeur la première. Il aurait du abandonner ce coin dès qu'il l'avait vu occupé au lieu d'essayer de virer la jeune fille. Après tout, maintenant il n'en était plus question, ce serait admettre perdre la partie. Et Gabriel détestait perdre. //

- Je ne savais pas qu'il était interdit de se promener le matin dans le Parc. Promis, la prochaine fois je te demanderais l'autorisation avant de m'habiller, Prince, on ne sait jamais.

// Il regarda ensuite la gamine, se demandant si l'insigne de Préfet aiderait à lui délier la langue plus que jusqu'à maintenant. //


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Isara

Ancien(ne)





MessageDate du message: Jeu. 14 Fév 2013, 10:27  Répondre en citant

- Non mais je rêve, on est tranquille nulle part dans cette école !

// Kitty se tourna vers le nouvel arrivant. L'insigne épinglait sur sa poitrine indiquait qu'il était le préfet des Serpentard. Il dégageait un charme certain, et rivalisait avec l'intrus qui était arrivé un peu plus tôt. Il était probablement très facile de s'enticher de l'un comme de l'autre. Ils se ressemblaient sur bien des points, grands, musclés, fins, les cheveux et les yeux sombres. Mais la première année était plus sensible aux cheveux long et à la peau hâlé du premier arrivant.

Elle qui avait voulu crayonner tranquillement, à l'abri des regards, cela semblait rater. Il était définitivement impossible de trouver un endroit tranquille dans ce château. Elle l'adorait bien évidemment mais n'en pouvait plus de ne pas avoir un moment de solitude et à voir la tête des deux hommes, ils étaient d'accord avec elle, là-dessus. //

- Del Gassia, bien matinal à ce que je vois... Qu'est ce que tu fous dehors ? Et toi, quelle maison ?

// Ainsi le sombre inconnu s'appelait Del Gassia, un nom italien. Katerina se demanda si il parlait sa langue maternelle. Elle-même parlait le français, l'italien et un peu de néerlandais. D'ailleurs quand elle parlait anglais, elle avait un fort accent français. Elle était incapable de prononcer les "r" correctement. //

- Je ne savais pas qu'il était interdit de se promener le matin dans le Parc. Promis, la prochaine fois je te demanderais l'autorisation avant de m'habiller, Prince, on ne sait jamais.

// La première année sentit la tension entre les deux jeunes hommes, comme un début de rivalité. Les deux respiraient la mauvaise humeur et l'énervement. Katerina préférait autant être loin, quand ça allait exploser entre ses deux là. //

- Serdaigle !

// La Bleue-et-Bronze se tourna ensuite vers le latin et lui adressa un timide sourire. //

- Del Gassia, tu es italien, tu le parles ?

// Cela faisait longtemps que la jeune fille n'avait pu parler sa langue maternelle et elle délaisserait bien volontiers la langue barbare qu'était l'anglais à ses yeux pour la douceur de la langue latine qu'elle tenait de sa mère. Cela faisait pourtant plusieurs mois qu'elle était à Poudlard, mais elle détestait toujours autant l'anglais et sa prononciation imprononçable pour les étrangers. Elle partageait ce dégoût avec Isa d'ailleurs et dès qu'elles étaient ensembles, elles ne gênaient pas pour parler français, au grand dépit des gens qui étaient avec elles et qui ne comprenaient plus rien. //


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MessageDate du message: Mer. 20 Fév 2013, 16:34  Répondre en citant

    - Je ne savais pas qu'il était interdit de se promener le matin dans le Parc. Promis, la prochaine fois je te demanderais l'autorisation avant de m'habiller, Prince, on ne sait jamais.

    Visiblement, la politesse et Del Gassia faisaient plus que deux. Amarel arqua un sourcil, étonné par une telle réponse de la part de l'autre Serpentard, qui devait savoir qu'il valait mieux caresser le préfet dans le sens des écailles qu'autre chose, les trois quart du temps. Mais visiblement, aussi, Del Gassia n'avait pas apprécié le réveil brutal offert gratuitement par la maison Prince quelques dizaines de minutes plus tôt. Le Préfet de Serpentard allait rétorquer quelque chose lorsque le lutin de cornouailles qui faisait figure de troisième humain à squatter l'endroit d'Amarel répondit à la question posée par le Préfet:

    - Serdaigle ! Del Gassia, tu es italien, tu le parles ?

    Amarel fronça les sourcils, enfonça les mains dans les poches de son pantalon, et s'adossa à l'arbre le plus proche avec une nonchalance insolente et provocante, signalant sans doute permis qu'il reprenait le contrôle de son territoire. C'était le lynx qui sommeillait en lui qui s'exprimait par cette possessivité, contrôlé par l'humanité du Norvégien. Ses pupilles s'affinèrent légèrement tandis qu'il susurrait en jaugeant du regard l'autre Serpentard:

    Vu ton accoutrement, Del Gassia, il vaudrait mieux que je surveille ta tenue vestimentaire le matin en effet...

    Amarel laissa un peu traîner la dernière syllabe de "effet" avec un sourire narquois ambigu au visage, qui ne laissait pas deviner s'il était en train de rire ou s'il était parfaitement sérieux. Son regard se posa sur la Serdaigle, un sourcil arqué, et une moue qui laissait supposer qu'il était face à quelque chose de particulièrement disgracieux, répugnant et presque malodorant. D'une voix lente, toujours doucereuse, sans pourtant être particulièrement agressive, avec cette morgue et ce ton qu'Amarel maîtrisait si bien, il reprit:

    J'imagine que ton nom ne vaut même pas la peine d'être cité, moldue, et que c'est aussi pour ça que tu te permets de poser une question aussi idiote à un Del Gassia. Evidemment qu'il parle italien, comme un Prince parle Norvégien et une idiote parle le "tais toi".

    Amarel sortit sa baguette, et la fit adroitement tourner entre ses fins doigts aussi pâles que ses bras dénudés. Ses cheveux noirs mi-long tombaient devant ses yeux et ses lunettes de soleil qui obscurcissait le paysage. Depuis six ans maintenant, Amarel avait développé une photosensibilité qui l'obligeait à porter des verres teintés lorsqu'il était en extérieur, mais il les portait aussi en intérieur, se servant des montures pour camoufler la cicatrice qui frôlait son oeil.


[Rp abandonné]


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MessageDate du message: Mer. 22 Jan 2014, 23:48  Répondre en citant

//Le lac noir s'était avéré être une mauvaise idée au final. Il y avait eu cette Katniss… Oh, la conversation avait été plaisante, certes, et constructive et intéressante bien sur… Oui mais … il ne voulait pas parler. Non, il voulait du silence, du repos, de la pénombre à la limite… Et ce n'était manifestement pas possible là ou il avait été. A terme, d'autres gens étaient venus et ça en avait été fini de l'intimité de la conversation. Alors, quand la jeune fille fut partie, Charles se releva et décida de sécher le diner. La fin n'était pas importante, il lui fallait se poser quelques instants. Alors il partit vers ce lieu que peut semblaient connaître.

En chemin, il se mit à réfléchir à tout un tas de choses. Alix tout d'abord. Ils avaient été fiancés au final. Un léger sourire vint parcourir ses lèvres. Fiancés à 15 et 17 ans. Quelle folie cela avait été. Et en même temps… Charles avait été tellement sur qu'il n'atteindrait jamais cet age qu'il n'avait pu se retenir, le jour de son anniversaire, de tenter le sort auprès d'Alix. Si jeune. Le garçon secoua la tête tout en marchant. Elle était majeure, et lui devait encore attendre un an à l'époque…

Elle avait dit oui. Ils avaient été heureux. Et ils en avaient parlé avec le père de cette dernière. Etonné, celui-ci avait fini par demander à Charles de lui laisser accéder à son esprit, et Charles avait alors comprit à quel point il aimait la jeune femme. Il était prêt à tout laisser pour elle, et il l'avait fait, autorisant l'accès au maître de Confrérie. Celui-ci n'avait plus eu d'objection, si ce n'est d'attendre que Charles ait atteint 20 ans. Il les avaient béni, et les deux amoureux étaient partis en vacances, comme prévu.


Et tout avait dérapé se souvint encore Charles. Il revoyait ce petit village, ce moment si simple et si bête. Il entendait encore les cris, les mouvements apeurés et il revoyait Alix étendu dans ses bras, lui souffler un léger "Avance", expirer, fermer les yeux, poser sa main sur sa joue, chercher du regard Cassiopée dans le ciel, revenir à lui, prendre sa main gauche de sa main libre, fermer les yeux à nouveau, sourire légèrement, les rouvrir une dernière fois et ne plus bouger du tout. Il y avait eu l'enterrement, puis Charles avait prononcé ses vœux de renoncement à la haute confrérie, quitter tout ou presque, ne gardant que ses attaches d'apprenti d'Ys et il était parti en Italie, pour tenter d'oublier.//

Et bien, je crois que nous pouvons parler d'un échec

//Murmura-t-il en arrivant à son lieu de destination. La combe était, comme toujours déserte, et vue l'heure, personne ne viendrait la remplir. Enfin, c'était sensé être le cas. Charles prit appui sur un tronc et d'un sympathique mouvement du corps, il se retrouva perché sur une branche porteuse d'un grand chène. Il aimait cet espèce d'arbre, un espèce de vieux sage qui ne se lasse pas d'écouter en silence ce que les gens ont à lui dire… Le temps commença à passer lentement.

Et Charles se perdit dans la suite de ses souvenirs. Et notamment les vacances de cet été. La résolution d'aller vivre en Angleterre à la rentrée, de vivre une scolarité normale après les années de combats, de survie et la vie de paria par moments… Et puis ses amis. Guillaume, Charlotte, Lucie, les 3 amis parfaits. Ils avaient compris. Sans qu'il n'ait rien à dire. Ils l'avaient laissé prendre son temps, jeter tout ce qu'il avait à jeter. Puis ils étaient venus le chercher, avec ce qu'il fallait. Et lui avait planté les germes de l'espoir en son cœur… Il interrompit ses réflexions un temps//

Allons cher petit graphème, viens remplir ton office, Sowelo

//Il sentit la chaleur du Graphème se répandre en lui et il sourit légèrement. Il songea alors à ce fameux devoir où il avait pu s'épancher. Il était probable que la professeur croit à un racontard, mais lui savait et i avait eu l'heur de trouver son apaisement dans cette écriture. Il avait fait une promesse et entendait la respecter.

Fermant les yeux, il s'appuya contre le tronc et resta là, laissant à ses pensées le soin de se construire sans lui, de dériver, tel le bateau sur l'océan ou la rose dans les livres. Il se mit à chanter sans s'en rendre compte, une chanson tirée d'un film moldu//

For ancient king and elvish lord
There many a gleaming golden hoard
They shaped and wrought, and light they caught
To hide in gems on hilt of sword.

On silver necklaces they strung
The flowering stars, on crowns they hung
The dragon-fire, in twisted wire
They meshed the light of moon and sun.


Dernière édition effectuée par Croun (Mer. 22 Jan 2014, 23:52) ; édité 1 fois

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Gagnant du jeu de l'oie


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MessageDate du message: Ven. 24 Jan 2014, 14:26  Répondre en citant

//Sebastian dormait d'un sommeil agité, il se retournait sans cesse et ses songes n'étaient peuplés que de félonie. Il ne voyait que des rires narquois, des regards traîtres, des visages déformés par des rictus de mépris. Le garçon commençait à geindre lorsqu'un grand bruit qui provenait de ses rêves le réveilla en sursaut. Son corps entier était en sueur, son front le brûlait, il étouffait. Trop chaud, pas assez d'oxygène, il lui fallait de l'air. En proie à une panique totale, il tomba de son lit. Le tapis aux couleurs de Serpentard amortit la chute et étouffa le bruit. Jules se ressaisit et vérifia que ses camarades de dortoir dormaient profondément. Il regarda sa montre, trois heures du matin. D'une main, il attrapa le verre d'eau posé sur sa table de chevet et le but d'une traite ; de l'autre, il saisit des habits confortables, un jean, un tee-shirt et un sweat. Après ces deux opérations, il entreprit, dans le plus grand silence possible, de sortir sa malle de sous son lit pour en extraire une corde d'alpiniste. Enfin, il s'éclipsa du dortoir et quitta la salle commune sans un bruit.
 
À cette heure avancée de la nuit, les couloirs étaient déserts, le concierge devait ronfler depuis une petite heure, il n'avait pas de quoi s'inquiéter. Sa première envie fut de se réfugier dans la salle sur demande, se transformer et passer une bonne fin de nuit, en sécurité. Puis il sentit le contact de la corde dans la poche centrale de son sweat-shirt noir. Des bouffées de chaleur remontait encore en lui, il se souvint qu'il avait chaud, non, cette fois-ci il voulait sortir, dormir dehors. Naguère, il aurait choisi la solution de facilité, c'est à dire sa forme animagus, celle où il se sentait bien, à l'abri. Maintenant, il avait envie de liberté, d'espace et surtout d'air frais. Evans continuait d'étouffer, il accéléra alors le pas pour pouvoir enfin sortir dans l'enceinte du château. Une fois dehors, il ouvrit les bras et laissa la brise l'envahir, sentir le vent contre ses joues lui fit du bien. Sa marche reprit, le jeune homme avait entendu parler d'un endroit, une sorte de petit coin perdu, que peu de gens connaissent, souvent on tombe dessus par hasard, comme s'il l'on trouvait réellement son chemin que lorsqu'on en avait besoin.
 
Jules devait vraiment en avoir besoin, car il tomba dessus sans chercher bien longtemps. Son regard fut attiré par un grand chêne, comme on en trouvait un peu partout dans le parc de Poudlard. Il posa sa main droite contre l'écorce, il pouvait sentir nettement la rupture de sensations au milieu, comme si sa main était en réalité en deux parties. Souvenir de la dernière fois qu'il était monté dans un arbre, il y avait fort longtemps, peut-être qu'il était justement temps de renouer avec les branches. Son pied prit appui sur le tronc et il se hissa à l'aide des rameaux. Une fois arrivé à un point assez haut, dont les feuilles cachaient le sol, Evans s'arrima à l'aide de la corde, pour être sûr de ne pas tomber, puis il posa sa tête contre le torse de l'arbre, avant de s'endormir, bercé par le bruit du vent dans le feuillage.
 
Cela faisait plusieurs semaines que son sommeil était troublé par des songes reflétant la traîtrise, le mépris, la haine, la colère. L'élève de septième année était presque arrivé à un niveau de non-retour concernant la fatigue. Si bien que le soleil qui perçait difficilement l'épais feuillage ne le réveilla pas, le crépuscule tombait lorsque des paroles vinrent s'introduire dans ses rêves. Sebastian ne retient qu'un seul mot, Sowelo, le nom d'un graphème. Pourtant, cela ne le réveilla pas non plus, non, ce fut les paroles d'une chanson qui le firent, il ne saisissait pas le sens des phrases, son esprit était encore embrumé par tant de repos. Le brouillard dans sa tête se dissipa peu à peu, il s'étira et frôla la crise cardiaque laissant échapper un ://
 
- Ah !
 
//Il venait d'avoir la frayeur de sa vie et durant un instant, il revit sa chute étant enfant, puis il se souvint qu'il était attaché et que, par conséquent, ne pouvait tomber. La chanson lui revint en tête, curieux, il se pencha sur le côté, pour tenter d'apercevoir la seconde personne présente dans cet arbre. Ce ne fut pas tâche facile, étant donné l'épaisseur des branchages, il arriva néanmoins à distinguer la tête d'un jeune homme, de son âge, il lui rappelait quelqu'un, mais impossible de se souvenir de qui. Doucement, il se reposa contre l'écorce, Jules ne voulait pas déranger la personne en dessous de lui, même si avec toutes ses acrobaties et son cri de stupeur, ce devait être raté.//


Dernière édition effectuée par Izaac Reagan (Ven. 24 Jan 2014, 14:30) ; édité 1 fois

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MessageDate du message: Ven. 24 Jan 2014, 22:00  Répondre en citant

- Ah !

//Charles eut un très léger sursaut en entendant cela. Manifestement, il y avait quelqu'un dans l'arbre. Quelqu'un qui venait de s'offrir une belle frayeur qui plus est si on suivait ses gestes désordonnés et empreint d'une fatigue et d'un sursaut non feints. Manifestement, ce garçon s'était endormi et venait d'oublier où et dans quel circonstance. Si on ajustait tout les paramètres de cette étonnante équation, Charles en déduisit que l'être là haut devait surement dormir depuis la veille en ce lieu. Encore plus étonnant. Mais pas ennuyeux, Charles aimait les mystères, et il en avait un bon devant lui.

Cependant… il se posait une question sur la magie. Ainsi donc, il n'avait pas rêvé… Quand il était monté dans l'arbre, Charles avait senti de la magie non loin de lui. Il l'avait attribué à la présence de Poudlard, mais maintenant que les choses lui apparaissaient plus clairement, il se fustigea mentalement. Evidemment que Poudlard dégageait de la magie, mais pas là même que celle d'un enfant de Hurin. Et il pouvait la sentir cette magie là, silencieuse, bien plus puissante que tous y compris le directeur, bien plus reposante aussi, mais bien plus dangereuse aussi… Une magie suave et belle, profondément attachée à ses enfants, une magie qui ne cherchait nuls conflits, nulles haines, simplement l'apprentissage de tous, et un profond amour pour sa création et ses créateurs sans cesse renouvelés.

C'était forcément un humain qu'il avait ressentti. Ses réflexes se liquéfiaient par moment. L'humain aurait eu cent moyens de le tuer s'il l'avait voulu. Parce que Charles n'avait aucune défense activée en cet instant et depuis les 3 heures qu'il était là. Ni mentale, ni physique, ni magique. D'autant plus que depuis son arrivée à Poudlard, il avait rangé dans un coin de sa géniale malle tous ses artefacts magiques. Sauf le médaillon évidemment… mais il savait qu'il n'enlèverait jamais celui-ci. Les souvenirs enfermés dedans n'avaient aucune équivalence de valeur sur cette terre et dans tout autre univers. Ils étaient précieux en termes d'enseignements, de connaissances, mais au-delà de tout, Charles ne laisserait personne voir les souvenirs qu'il avait de son ancêtre et de sa mort. Dieu seul savait comment Quinlan avait possédé cet artefact mais Charles ne laisserait personne y toucher de son vivant… Et comme Alix était morte, il tuerait probablement la lignée.//

**Ce n'est pas le moment de penser à cela Charles, il ya plus important à verifier au dessus de toi!**

//S'admonesta-t-il silencieusement, tandis qu'il s'ébrouait quelque peu. Il chercha Naegling par réflexe avant de se souvenir des sorts qu'il avait posé dessus pour ne plus avoir à l'emporter partout avec lui. Il eut un rapide sourire, qu'une mine concentrée remplaça cependant bien vite. Il inspira à fond, bloquant dans ses poumons de l'air puis expira doucement le tout avant de s'élancer vers le haut. Il progressait rapidement vers l'endroit ou se trouvait l'autre garçon, évoluant ici comme dans son environnement naturel. En fait l'escalade lui manquait remarqua-t-il. Pas forcément le fait de poursuivre quelqu'un pour le faire parler, mais au moins l'autre partie de la chose, celle qui constituait à toujours chercher la bonne prise, le bon appui, le bon creux… C'était tellement plus simple de faire cela que de s'interroger sur ses sentiments ou sur les actions de ses ennemis… tellement plus naturel.

Enfin, il arriva au niveau de l'autre garçon qui semblait effectivement achever de se réveiller. Charles le reconnut facilement. C'est Sebastien Jules Salander. Un authentique emprunt d'un truc moldu d'ailleurs se rappela-t-il. Cependant, d'où cela pouvait venir… excellente question que le français se promit d'étudier plus tard, quand il ne serait plus en équilibre sur un arbre plusieurs fois centenaires, à essayer de tirer au clair ce que faisait ici le sang-mélé. Ce n'était pas une offense venant de lui, plus un constat. De toute façon, il n'avait jamais pu interroger ses parents sur ces questions, et il ne le ferait jamais. En fait, il attendait avec impatience la naissance de sa petite sœur pour prendre officiellement ses distances avec toute la suite de ceci. Et pour sa sœur aussi devait-il admettre. Enfiiiiiin bon.//

Ho, c'est donc toi Sébastien. Mais que diable fiches-tu ici ? Il est 22h30. Tu as l'air frigorifié… quel idée de sortir en … pyjama ? Tu es sur que ça va

//Il savait que le vert et argent était presqu'aussi solitaire que lui. Et dans un sens, cela lui avait donné envie de se rapprocher de ce garçon, si grand soit dit en passant, mais qui semblait encore plus perdu que lui ce soir… Il s'assit sur la branche, attendant une réponse//


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MessageDate du message: Mer. 18 Juin 2014, 10:55  Répondre en citant

[RP Ann Seymour/Charles le Seault]


// Ann était assise dos à un tronc d’arbre, les yeux tournés vers Poudlard. Bien sûr, elle ne pouvait pas voir le château lui-même : elle avait choisi cet endroit justement parce que nul ne pouvait l’aperçevoir de loin, ici. Mais elle surveillait les quelques mètres de pelouse que quiconque voulant s’approcher d’elle devrait traverser.
C’était une journée plutôt chaude, mais un doux zéphyr venait caresser ses cheveux et rendait l’atmosphère agréable. Cela aurait été propice à des rêveries, surtout au regard de la nature dont elle était entourée. Mais Ann ne pouvait pas se permettre de relâcher son attention. Elle était en mission et ne devait pas l’oublier.
Il s’agissait d’une mission de recrutement pour l’Amafia. Cela faisait quelques temps qu’elle avait remarqué qu’un de ses camarades de classe, Charles le Seault, avait des résultats en Etude des Graphèmes particulièrement exceptionnels. Cela avait attiré son attention et elle avait donc fait de discrètes recherches sur lui. Elle savait déjà qu’il était nouveau : elle avait appris qu’il venait de Beauxbâtons, et donc qu’il parlait le français à la perfection. En l’observant, elle l’avait vu une ou deux fois lancer de petits sorts sans utiliser sa baguette : un talent rare, et qu’aucun autre membre de l’Amafia ne possédait. Elle avait donc évoqué le cas de Charles avec Tim et Zoey, et ils étaient rapidement parvenus au consensus qu’Ann pourrait tenter de l’approcher pour le recruter, en s’assurant qu’il possédait le tempérament nécessaire pour appartenir à une organisation secrète.
Tim avait donc, la veille, laissé de sa part un petit mot anonyme sur l’oreiller de Charles : en tant que garçon, il pouvait s’approcher beaucoup plus discrètement du lit de son congénère dans la Tour de Serdaigle. Le message invitait Charles à venir à un endroit précis du Parc, celui où Ann se trouvait actuellement, à seize heures. Il était quinze heures cinquante-trois. Ann arrivait toujours en avance afin d’avoir la maîtrise du terrain.
La jeune fille tapota une racine de sa main droite. Des missions de recrutement de ce genre, elle en avait déjà fait beaucoup. Elle savait comment elle devait se comporter : zen en apparence, afin de mettre en confiance son interlocuteur et l’inciter à baisser sa garde, tout en restant concentrée afin de pouvoir analyser en direct sa personnalité. Elle devait savoir si cela valait la peine de proposer à la personne avec qui elle parlait de devenir le nouveau membre de l’Amafia. //

** Alors, Charles deviendra-t-il l'un des nôtres ? **

// Elle n’avait aucun préjugé à ce sujet. Tout dépendait de l’entretien qui allait se dérouler… Enfin, si Charles avait la curiosité de se rendre au mystérieux rendez-vous que l’Amafia lui avait fixé… //


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Joueur


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Guilde : Aucune
Maison : Serdaigle
Poudlard : 6e année
MessageDate du message: Mer. 18 Juin 2014, 11:57  Répondre en citant

** Étonnant ce papier …. Mais de qui vient-il est une meilleure question je pense … **

//Comme s’il avait deviné l’appel à venir de son compagnon, Elwyng, le phénix du Serdaigle était apparue en tête de son lit dans un bruit discret et un chant fort agréable pour l’oreille et le réveil. //

- Elwyng, j’ai besoin de ton aide mon amie. Tu te souviens du lac ? J’ai besoin que tu le surveilles pour moi ce matin. On m’a donné rendez vous la bas à midi et je suis prêt à parier qu’il y aura un comité d’accueil sur place. Sois discrète, quoi qu’il arrive ne te fais pas voir et ne prends pas de risques. Merci mon amie »

//Comme souvent le matin, l’intelligent animal vint placer sa tête contre le front de son compagnon. Il savait quelles étaient ses nuits et ce geste d’apparence anodin cachait en fait un échange bien plus complet qui apaisait grandement le garçon. L’animal disparut dans un nouveau bruit discret laissant Charles à ses réflexions.

Machinalement, il passa par la douche, s’habilla et alla manger, tout en songeant à ce qu’il avait bien pu se passer. Durant la matinée, il prit le temps de bien réfléchir à qui avait bien pu faire cela. Il pouvait s’agir de pas mal de personnes en fait … Au début de l’année, d’un commun accord avec le groupe qui composait son dortoir, ils avaient décidés de ne plus mettre le sort de restriction des entrées dans le dortoir, notamment pour des raisons de couples qui dormaient à deux. Du coup, tout Serdaigle, et globalement tout Poudlard avait pu poser ce mot là. D’autant plus que pour ne pas attirer l’attention sur lui, il n’avait pas mis de sorts particulièrement puissant sur son lit… du moins pas visible. Un Gladr contrôlait l’accès et empêchait les personnes mal intentionnées de placer quelconque sort dangereux. //

** Définitivement, ce ne peut être dangereux que sur place… J’ose espérer que je ne vais pas avoir droit à une nouvelle déclaration d’amour. Quoi qu’après la dernière fois, Elwyng a probablement compris que cela ne m’intéresse pas **

//Perdu dans ses réflexions il n’avait pas vu la matinée passer et voilà qu’il était midi moins le quart. En bougeant maintenant, il arriverait à l’heure au rendez-vous. En avançant, il put distinguer une silhouette adossée à un arbre, il reconnut finalement la personne et passa en revue ce qu’il savait d’elle tout en maintenant un pas égal//

** Ann Seymour. Serdaigle, intelligente. Un frère jumeau et une petite sœur. Se livre probablement à des activités secrètes non identifiées. Titulaire d’un carnet de note excellent bien que semblant systématiquement retenir sa magie dans les mises en pratiques. Attention à sa main droite, la bague qui est dessus contient un sort puissant que je ne connais pas et que je n’ai probablement pas envie d’expérimenter… Bon coté : ce ne sera PAS une déclaration d’amour **

//Un léger sourire vint flotter sur ses lèvres

- Bonjour


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