A l'Abri des Regards

[Ancien(ne)]

//Depuis le temps, le Serpentard s'était allongé contre l'arbre qui lui offrait autant d'ombre. Dès qu'il avait vu arrivé une poufsouffle, qui visiblement se rapprochait de lui, il s'était tue.//

** Qu'est ce qu'elle veut elle ?**

Quand elle fut a sa hauteur, Wil l'interpella et lui demanda//

- Oui ?

//La Poufsouffle devait surement avoir entendu le serpent fredonné sa chanson, elle avait donc une raison d'etre ici. Wil rougit a l'idée que quelqu'un ai pu l'entendre.//

[Knox]

- Oui ?

// Elle fixa le jeune homme qui dès son arrivée avait arrêté de chanter. //

- Eh bien va y ! Continue de chanter ? Pourquoi t'arrêtes tu ?


// Elle vit le garçon l'a regarder d'un air assez étrange. Elle tendit alors sa main vers le Serpentard. //

- Knox Evenglaw. Enchantée.

// Voyant que le jeune homme ne réagissait pas, elle laissa tomber sa main et éclata de rire. //

- Oh oui, j'avais oublié. Les Serpentards n'adressent pas la paroles aux élèves qui ne sont pas dans la même maison qu'eux. Par principe de Sang. Quelle débilité, franchement. Je vois. Tu ne comptes pas bouger ton derrière et te relever, histoire de te présenter ? C'est mesquin comme attitude. Je suis déçue, je pensais que les Serpy étaient sympas. C'est plus la même époque. Mon père me disait que "les Serpentards seraient très accueillants avec toi quand ils apprendrons qui est ton père." Mon père s'est trompé. m'enfin bref !

// Elle se détourna, prête à rebrousser chemin //

[Ancien(ne)]

K - Eh bien va y ! Continue de chanter ? Pourquoi t'arrêtes tu ?

//Wil fixa la Poufsouffle d'un regard interloqué, il resta comme çela pendant quelque secondes, puis répondit//

- Parce que je veux plus chanter. Pourquoi tu voudrais que je continue ?

K - Knox Evenglaw. Enchantée.

//Knox tendit sa main vers le Serpentard, ce dernier regarda la main de son interlocutrice, puis la saisie vigoureusement et lui sera la main a son tour//

- Je m'appelle Wil Hermann Johnson. De même.

HS : tu peux pas me faire faire ce que tu veux dans tes réponses RP, sinon si je veux dire le contraire, comme maintenant, c'dur quoi ^^

//La fille commença tout de suite a se retourner, prete a partir. Elle lança en dernier//

K- Oh oui, j'avais oublié. Les Serpentards n'adressent pas la paroles aux élèves qui ne sont pas dans la même maison qu'eux. Par principe de Sang. Quelle débilité, franchement. Je vois. Tu ne comptes pas bouger ton derrière et te relever, histoire de te présenter ? C'est mesquin comme attitude. Je suis déçue, je pensais que les Serpy étaient sympas. C'est plus la même époque. Mon père me disait que "les Serpentards seraient très accueillants avec toi quand ils apprendrons qui est ton père." Mon père s'est trompé. m'enfin bref !

- Euh.. Non mais attends !

//Il trouvait que Knox était très bavarde, se relevant, il continua de la regarder d'un air vaguement étonné.//

[Zougui Akane]

[HRP : Désolée de vous interrompre, je finis juste mon RP avec Anaël, donc vous n'êtes pas obligés de faire comme si on était là, 'fin c'est comme vous voulez xD]

//Chacun des mots de son condisciple se fixait dans l'esprit de Zougui, celle-ci gardant en mémoire toutes les paroles qui lui permettraient de construire sa réponse. Elle posa ses bras en arrière et leva son visage vers le ciel, laissant la brise et les rayons de soleil baigner son visage d'une aura de plénitude. Alors que sa longue chevelure d'un noir de jais voletait au gré du vent, son regard émeraude redevint sérieux//

- Certes, ce n'est pas l'Homme qui a inventé la magie, aujourd'hui encore nous ignorons ses origines. Toutefois, c'est l'Homme qui invente les sortilèges, qui modèle la magie au gré de ses envie et de ses besoins. Après avoir discuté avec toi, je suppose que ce n'est qu'une question de point de vue, mais je ne pense pas que... quelque chose qui permet de modifier autant notre environnement soit tout à fait naturel. Même si aujourd'hui on peut s'aperçevoir que l'Homme n'a pas besoin de magie pour modifier le milieu qui nous entoure de manière irréversible.

Tu dis que nous avons de la chance de nous rendre compte des conséquences que peuvent avoir nos actes. Personellement je n'emploierai pas le mot "chance" mais là n'est pas la question. Nous pouvons bien voir tous les deux qu'après avoir échangé nos points de vue, cette notion de conséquence peut se révéler très différente pour chacun.

//La jeune fille releva la tête et ses yeux se rivèrent dans ceux d'Anaël//

- Quant à l'ordre... //reprit-elle d'une vois décidé//

//Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase que le silence et la tranquillité du Parc furent rompus par la sonnerie stridente du chateau qui annonçait la fin d'un cours et le début d'un autre. La préfète sauta sur ses pieds, passant de la position assise à debout en un quart de seconde. En effet, la discussion avec son camarade l'avait tellement captivée qu'elle en avait oublié les cours//

- Désolée je dois y aller, j'ai cours de défense contre les forces du mal ! //dit-elle en commançant à se diriger vers le chateau et en attrapant son sac au passage, mettant celui-ci en bandoulière// Merci pour cette discussion intéressante en tout cas ! A plus !

//Avec un dernier sourire en direction d'Anaël, elle se mit à courir afin d'être à l'heure à son prochain cours, car il était de notoriété publique que le professeur Valdurren appréciait peu les retardataires. Toutefois, malgré l'empressement de la jeune fille, ses mouvements ne perdaient leur harmonie habituelle//

[Weyna]

//Après toutes ces émotions dans la salle n°11 l'appétit de Weyna c'était envolé. Elle décida donc d'aller se changer les idées au parc dans son endroit le plus reculé pour qu'elle puisse songer à tout ce qui venait de lui arriver, seule et surtout sans préfetes de quelques maisons que ce soit. Elle fouilla dans son sac tout en marchant et en ressortis un objet moldu qu'elle affectionait tout particulierement pour ne plus pouvoir s'en passer. Un Ipod accompagné de sa playlist moldue, sorcière et elfique. Elle mit donc son casque sur ses oreilles et se rendit à son endroit favoris. Quand elle y arriva il n'y avait personne comme elle s'en doutait. Elle s'assit donc sur l'herbe en tailleur sa musique aux oreilles et ses pensées vagabondes sur l'existentialisme lui trotant dans la tête. Quand elle entendit des craquements de bout de bois sous les pas d'une personne inconnue qui vraisemblablement se dirigeait vers là.//

*Oh non pas encore*

[Arsenic Rosidae]

// La nuit était tombée depuis deux heures déjà, sans pour autant que la soirée soit trop avancée. L'hiver raccourcissait les journées à sa guise et décalait les habitudes des hommes. Dans le dortoir, Arsenic ouvrit son armoire et en sortit un banal télescope, ainsi qu'un minuscule livre qu'elle avait rarement ouvert. Elle enroula une fine écharpe autour de son cou, rangea le petit manuel dans l'une des poches de sa cape et quitta les cachots, traînant la lunette derrière elle et provoquant un bruit sourd à chaque petite irrégularité du sol. Ce fut donc dans la plus totale indiscrétion qu'elle traversa les quelques couloirs menant à l'entrée principale. À peine eut-elle passée l'imposante porte que le vent vint fouetter ses joues rosies par le froid. Habituée à ce climat, la jeune femme avança, bravant avec indifférence la petite tempête. Le parc était presque déserté ; il restait tout de même un ou deux couples avides de tranquillité. La Serpentarde trimbala sans aucune précaution son télescope sur quelques mètres encore et enfin, se posa. Non loin de là, une jeune fille était assise dans le froid et balançait la tête au rythme de quelque musique, provenant sans aucun doute d'un de ces appareils moldus idiots. Arsenic installa la lunette dans le calme, peu désireuse d'attirer l'attention. Au moins, ni Kalevala, ni Hander n'étaient là pour briser le silence, précieux. La jeune femme devait terminer un devoir d'astronomie et cela l'embêtait au plus haut point. Le thème qu'ils abordaient en ce moment, l'astrophysique, ne l'intéressait que peu. Elle ne se voyait pas traiter les propriétés physiques des corps célestes toute sa vie, oh que non. Une fois qu'elle eut repérer l'astre à étudier, elle extirpa le livre et l'ouvrit à la page correspondante. Elle commença la lecture, baillant à plusieurs reprises. Dès qu'elle eut retenu la quintessence du bouquin, elle retourna à l'observation du ciel. Environ une dizaine de minutes plus tard, elle plia le télescope et repartit. Le vent claquait de plus en plus fort, et quelques flocons plus difformes les uns que les autres voletaient autour des cheveux presque rouges de la Serpentarde. Elle marcha alors, presque aveuglée, sur plusieurs bouts de bois, éveillant l'autre jeune fille, toujours assise. //

[Loukass]

Le jeune Serdaigle dont jamais personne n'avais entendu parler décida enfin d'aller dans le parc après 2 années d'étude a Poudlard, Ce jeune garçon mystérieux vêtu d'une cape d'hiver noire s'assis sur un des nombreux banc sous un cerisier qui avait perdu ses fleurs et ses feuilles, Il sortis d'une poche de son manteau sa Baguette magique en Bois de Vigne et Epine de Noueux, Fit un mouvement de bras en pointant l'arbre

--Orchideus--

Des petits bulbes et des feuilles apparurent sur le cerisier il n'en avait pas fini

--Amplificatum--

Les bulbes se mirent a grossir, grossir jusqu'à éclater et laisser apparaitre de grandes fleurs blanche et rose, Un léger sourire se dessina sur son visage et il s'assis au pieds de cette arbre en fleur d'hiver

[Weyna]

//Weyna fit volte face préférant voir qui arrivait vers elle plutôt que de se faire surprendre par quiconque lui voulais du mal. Oui du mal parce que c'était principalement ce qui arrivais quand quelqu'un venez à lui parler. C'est alors qu'elle aperçus la jeune Serpentarde qu'elle avait croisé dans la salle n°11 un peu plus tôt dans la soirée, la jeune Serpentarde qui s'était en allé quand celle-ci aurait put la dénoncer, la jeune Serpentarde qu'elle avait trouvé tant mystérieuse dut à sa sortie injustifié. Weyna se leva , la lorgna du regard et ennonca d'une voix qui se valait jovial et embuée de gentillesse, comme elle avait l'habitude de l'être.//

-Heu tu peux t'asseoire avec moi si tu le souhaite bien sur !

//Weyna attendait donc la reponse de la jeune sorcière dans un mélange d'éspoir, malgré sa maison, et de crainte.//

[Arsenic Rosidae]

// Le bruit de craquement ne manqua pas d'alerter la jeune femme assise dans le froid. Arsenic se retourna, sachant pertinemment que les deux yeux de sa camarade étaient fixés sur elle. En effet, l'adolescente parla d'une voix douce et emprunte de gentillesse. //

- Heu tu peux t'asseoir avec moi si tu le souhaites bien sûr !

// La Serpentarde resta quelques secondes interdite. C'était bien la première fois qu'une personne quémandait sa compagnie. Peu certaine que la jeune fille aux cheveux d'un blond si pur qu'ils étincelaient dans le crépuscule ait reconnue à quelle maison elle appartenait, Arsenic fit quelques pas vers elle, traînant toujours le télescope. Ses cheveux rouges dansaient dans le vent de plus en plus fort ; les flocons de neige grossissaient à vue d'œil. La vert et argent leva la tête vers le ciel si noir et couvert que la lune elle-même peinait à s'imposer. Il devait être aux alentours de dix-huit heures désormais. La jeune Rosidae reporta son attention sur l'autre fille. Ses traits lui étaient familiers, pourtant elle fut incapable de lui rendre son nom. Ses yeux bleus brillaient d'un espoir méconnu d'Arsenic, ainsi que d'une vague crainte. Elle s'approcha et s'assit à ses côtés, en silence. Elle écouta le vent claquer contre les arbres à proximité ; s'y mêlait quelque résonance provenant de l'appareil moldu de la blonde. Elle ferma les yeux et profita de ce moment de répit. //

[Ancien(ne)]

//Il allait me prendre dans ses bras mai je me dégageais d'un geste vif avec un grand sourire. La rose mutilée retomba par terre, envoyant ses pétales au quatres coins du parc.//

Tu peut toujours rêver pour que je danse avec toi, biancovita, tu es vraiment pathéthique à te croire dans un film, il serait temps de t'endurcir un peu pour devenir quelqun d'enviable.

//Je me détournais de lui.//

[Parfait, ça lui apprendra à me faire des avances, quel stupide petit bonohme. Il à mis beacoup trop de temps à comprendre que ce n'était pas le coté romantique des garçon qui m'attirait.]

//Je secouais la tête, faisant virevolter mes longs cheveux d'une couleur bleutée naturellement et éclatais de rire. Quel crédulitée ce gars là!//