A l'Abri des Regards

[Weyna]

//Toutes deux se fixaient dans un silence marqué par quelques poussure de voix du chanteur des One Republique sur la chanson "All the right moves". La jeune Serpentarde avait l'air de ne pas être accoutumé à ce genre de question. Quand celle-ci le rompas en s'avancant vers elle, la vert et argent semblait redouter qu'elle ne l'accepte plus à ses côtés pour quelconques raisons que Weyna ignorait. Elle avancait d'une lenteur qui faisait virevolté avec magnificience sa chevelure roussâtre, puis elle s'assit doucement à côté d'elle. Weyna se rassit donc à ses côté, écrassant quelques herbes folles, eteignit son Ipod de peur que la contemplation d'un objet moldu fasse fuire la jeune Serpentarde et lui posa la question qui lui brulait les lèvres depuis qu'elle avait reconnus la jeune rouquine à travers les végétation.//

-Pourquoi es-tu partis sans..heu..enfin tu sais, sans me tyraniser ou me dénoncer ou m'insulter, ou bien même les trois ?

//Elle emit un petit rire sarcastique puis réitera sa question devant le silence de sa compagne.//

-Pourquoi es-tu partis sans faire ce que font tous les Serpentard ?

[Arsenic Rosidae]

- Pourquoi es-tu partie sans.. heu.. enfin tu sais, sans me tyranniser ou me dénoncer ou m'insulter, ou bien même les trois ?

// Arsenic fronça les sourcils. Elle fouilla son cerveau à la recherche d'un quelconque souvenir commun avec cette fille aux cheveux d'un blond si particulier. Soudain, l'image bien nette d'une salle sombre dans les sous-sols lui revint. Elle fit le rapprochement, contente de voir qu'il lui était possible de se remémorer des moments insignifiants. //

- Pourquoi es-tu partie sans faire ce que font tous les Serpentards ?

// La vert et argent n'entendait plus les résonances de musique. Sa camarade avait du éteindre son étrange appareil. Seul le bruit du vent demeurait, son souffle était de plus en plus vigoureux. La jeune femme aux cheveux presque rouges ramena ses jambes contre son torse et posa ses mains nues sur ses genoux. Elle appuya ensuite son menton sur ses doigts croisés et ferma les yeux. Quelques secondes pesantes passèrent, enfin elle articula faiblement. //

- Je n'avais aucune raison de mal agir envers toi. Et parce que j'étais dans un bon jour.

// Un vilain rictus apparut sur le visage rosi de la Serpentarde. Oh oui, elle aurait pu la faire chanter comme font tous ses compagnons ; pourtant, l'indifférence prenait le-dessus sur toute envie cruelle. Rares étaient les moments d'égarement où la jeune Rosidae attaquait. Cette dernière souffla dans la nuit froide, provoquant l'élévation d'une petite brume à peine visible. Le parc n'était que peu éclairé et le coin où se trouvait les deux jeunes filles était totalement désert. Malgré l'obscurité, Arsenic percevait le contour de toute chose aux alentours. Y compris le visage de sa camarade tourné vers elle. //

[Weyna]

- Je n'avais aucune raison de mal agir envers toi. Et parce que j'étais dans un bon jour.

//Weyna fut choqué par ces paroles jamais quelqu'un, encore moins une Serpentarde, n'avait prononcé les mots "je n'avais aucune raison de mal agir envers toi". D"habitude des insultes fusaient de tout côtés pour seule raison que c'était une hybride : mi-elfe, mi-sorcière. Ce qui, il faut l'avouer, était aussi idiot que le fait de hair les sorciers nés de parents moldus. Mais la jeune Serpentarde n'avait pas l'air comme cela, bien sur on sentais le vice et le mal emmaner d'elle, mais il y avait une part, que Weyna aurait bien voulus posséder, d'indifférence qui dominait sa personalité machavélique propre aux Verts et Argents. La jeune Edwards ne cessait de la regarder, c'était une jeune fille assé étrange et reveuse qui lui rappelait ses moments de solitude, qui lui rappelait la famille Lovegood, qui lui rapellait tout simplement elle-même. Quand celle-ci compris qu'elle aussi la fixait elle tourna la tête ,légérement empourpré, de peur de parraitre impolis. La jeune poufsouffle s'allonga dans l'herbes légérement fraiches, ce qui lui provocas quelques frissons, et contempla la lune. Elle adorait les soirs de pleine lune. Pour elle, elle représentait le fait que dans cette obscurité omnisciente reste un être de lumière, un être qui éclaire nos vies, nos âmes et nos coeurs. Quand elle se rapella qu'elle n'était pas seule, elle demanda, tout en continuant d'observer cet halo lunaire.//

-En fait comment t'appelles-tu ?

[Arsenic Rosidae]

// Sa camarade se détourna lorsque les yeux d'Arsenic se posèrent sur elle, puis elle s'allongea dans l'herbe humide. Un long moment passa sans que la Serpentarde soit gênée par ce silence. L'autre fille était perdue dans la contemplation de la lune qui était parvenue à se frayer un chemin parmi les sombres et épais nuages que le vent violent avait chassé. L'astre brillait profusément maintenant. Soudain, la voix de l'adolescente aux cheveux d'un blond très pur brisa la tranquillité qui s'était installée. //

- En fait comment t'appelles-tu ?

- Arsenic.

// Il était devenu habituel pour la jeune femme de donner son prénom. Cela semblait être une question que tout le monde se posait. La vert et argent n'était que peu entraînée à interagir, et depuis cette année, tous l'interrogeaient. C'était presque devenu machinal. En revanche, elle n'avait pas pris l'habitude de retourner la question. Pour elle, les noms ne valaient rien, seul l'être comptait. Subitement, une puissante rafale souffla dans la nuque des deux jeunes filles. Elles frissonnèrent à l'unisson tandis qu'un faible ululement parvint aux oreilles d'Arsenic. Celle-ci se releva d'un bond, découvrit son bras gauche et le tendit dans le vide, prête à recevoir Kalevala. La chouette surgit de nulle part, enserrant dans ses griffes un morceau de papier. L'oiseau se posa sur l'avant-bras nu de sa maîtresse. Cette dernière saisit la missive et caressa le bec de Kalevala. La jeune femme se rassit dans l'herbe, peu consciente de la présence de sa camarade à ses côtés. Elle entreprit sa lecture. Parvenue aux derniers mots, elle soupira. Son père, toujours son père. Puis elle réalisa qu'elle n'était pas seule. Arsenic se tourna vers l'autre jeune fille et lui sourit. Elle tapota le crâne de sa chouette qui sautilla dans la direction de l'adolescente toujours allongée. Elle monta sur son torse et planta ses iris jaune dans ceux bleu de la blonde. La Serpentarde rit légèrement. Elle aimait observer les réactions des gens face à sa chouette plus qu'étrange. //

[Weyna]

- Arsenic.

//La jeune Jaune et Noir trouva ce prénom assez inhabituel mais en y réfléchissant plutôt original donc magnifiquement parfait pour la petite Weyna. Elle se sentit un peu vexée de ne pas se voir retourner la question, cela aurait évité qu'elle ne la reconnaisse pas la prochaine fois, mais ça devait être dans sa nature ce que Weyna acceptait, elle était d'une grande tolérance. Elle sentit des battement d'ailes venir dans sa direction, cela ne devait pas être pour elle, son animal de compagnie était un chat nommé Winey, pour le courrier elle se rendait à la volière. Elle vit une magnifique chouette laponne d'un pelage blanc tachetés de gris se poser sur le bras de la jeune fille. Un silence s'installa Weyna ne voulait pas l'interrompre durant sa lecture, quand elle émit un soupir.//

*Cela ne devait pas être de bonnes nouvelles...*

//Weyna de nature curieuse se demandait bien ce qui pouvait l'atteindre à ce point, elle avait pourtant l'air de ne s’intéresser, de ne s’intéresser...à rien en fait ! Quand elle sentis une présence l'observer, elle tourna la tête, toujours allongé, et vu les yeux bistre d'Arsenic la fixait, cette dernière lui lança un sourire que Weyna lui retourna en se disant qu'elle devrait le faire plus souvent car il l'enjolivait vraiment. La jeune Poufsouffle retourna dans sa contemplation quand elle sentis des griffes se poser sur sa robe, elle redressa légèrement la tête et se retrouva nez à bec avec l'oiseau de sa camarade Serpentarde. Elle émit un léger cris de surprise qui fit le bonheur de la Vert et Argent qui ne retenas pas son bonheur de rire de la peur d'autrui puis s'assit en tailleur tout en caressant la chouette. Son pelage était doux comme de la soie malgré son air étrange qui ,il faut l'avouer, ne mettait pas Weyna totalement à l'aise. La chouette cependant avait l'air de bien l'aimer, tout du moins ses caresses, elle fermait ses yeux grand jaune et semblait être dans un état de jouissance. Elle détourna son regard du rapace et le posa sur la jeune rousse qui semblait plongé dans ses pensées.//

-Cela ne me regarde surement pas, mais si tu veux en parler sache que je suis là ! dit Weyna d'une voix mal assuré.

//N'entendant aucune réponse elle décida de la laisser seule, ne voulant pas lui imposer sa présence, elle déposa donc la laponne sur le sol, qui semblait s'être endormis sur la jeune fille, rangea ses affaires et se dirigea vers la forêt dense.//

[Arsenic Rosidae]

// Arsenic regarda sa chouette comme une mère regarde son enfant. Kalevala était l'oiseau le plus intelligent que la jeune femme eut rencontré de toute sa vie ; c'est d'ailleurs pour cela qu'elle l'avait fait sienne. Ses longues plumes blanches tachetées de noir étaient d'une douceur incomparable et Arsenic ne se privait jamais de les caresser. Mais ce qui avait le plus fasciné la Serpentarde, fut la capacité qu'avait la chouette à interagir avec elle. Lorsque leurs iris se croisaient, l'une et l'autre se comprenaient. Aussi étrange que cela pût paraître, l'oiseau et la femme se sentaient plus proches que de n'importe quel autre volatile ou homme. La vert et argent ressentait les émotions de sa chouette, et inversement. Arsenic fixait sans ciller Kalevala depuis maintenant plusieurs minutes, sans éprouver la moindre once d'ennui. La voix incertaine de sa camarade la sortit de sa contemplation. //

- Cela ne me regarde surement pas, mais si tu veux en parler sache que je suis là !

// Oh non, cela ne la regardait en rien. Arsenic n'était pas du genre à se confier ; déjà qu'elle n'avait jamais fait part de ses angoisses à sa mère, pourquoi le ferait-elle avec une parfaite inconnue ? À nouveau, elle parcourut rapidement la missive de son père. Ce dernier demandait sa présence pour les prochaines vacances. Arsène et Hellic Rosidae. Respectivement père et mère de la jeune femme aux cheveux presque rouges. Tous deux portaient un amour sans faille pour leur fille, mais son éducation était un sujet qu'il était douloureux d'aborder depuis le passage de la jeune femme chez Agrilla. Tandis que la Serpentarde maudissait son ancienne nourrice d'avoir crée des complications dans sa famille, l'autre fille se leva. Elle déposa Kalevala - qui semblait dormir - sur le sol, prit ses affaires et se dirigea vers la forêt. Arsenic saisit sa chouette et la posa sur son épaule. Puis, elle se leva à son tour et se tint droite, les cheveux mêlés par le vent et le dos parcouru de frissons dus à la basse température. Elle apercevait toujours le dos de sa camarade qui s'éloignait doucement ; alors, elle parla suffisamment fort pour couvrir les bourrasques et la distance. //

- J'espère que tu es consciente du chemin que tu empruntes. La forêt n'est pas des plus accueillantes à cette heure-ci.

[Weyna]

- J'espère que tu es consciente du chemin que tu empruntes. La forêt n'est pas des plus accueillantes à cette heure-ci.

//C'est mots raisonnèrent avec raison à travers l’esprit de la jeune Edwards. En effet celle-ci ne possédait pas un très grand sens de l'orientation on peut même dire qu'il était carrément nul. Durant ses sept années à Poudlard elle n'avait jamais était capable de retrouver son chemin, parcourant les couloirs de l'immense château pendant des heures jusqu'à, enfin, arriver à destination. Et ce soir elle n'avait vraiment pas envie de retourner à son dortoir fatigué, essoufflé et énervé, en ayant essayé de semer toutes les choses qui habitaient cette forêt et qui de temps à autre se balader à cet endroit précis du parc. De plus il était vraiment tard, et la pleine lune était déjà d'une luminescence aveuglante, si un loup garou passait par là ce serait la fin pour elle, malgré sa grande capacité concernant les sorts et enchantements. Elle se retourna donc vers Arsenic. //

Tu as raison et à deux nous sommes moins vulnérables que seule ! Il vaudrait mieux que tu m'accompagnes !

[Arsenic Rosidae]

- Tu as raison et à deux nous sommes moins vulnérables que seule ! Il vaudrait mieux que tu m'accompagnes !

// Arsenic serra la lettre de son père dans sa main droite. Elle ne voulait plus se promener dans la forêt depuis que le Serpentard blond l'y avait perdue. Elle n'avait pas peur ; seulement, le temps qu'elle avait passé entourée d'arbres plus immenses les uns que les autres lui avait laissé un goût amer. Elle s'était pris les pieds dans des racines rebelles à plusieurs reprises, et était même tombée plusieurs fois. De plus, Kalevala n'avait pas été d'une grande aide, se contentant d'ouvrir ses petits yeux jaunes de temps à autre et de ululer si sa maîtresse divergeait trop du chemin. Une forte bourrasque ébouriffa les cheveux rouges de la jeune femme. Elle plaqua sa main contre son visage, protégeant ainsi ses yeux. //

- À ta place, j'éviterais de compter sur moi. Je ne vaux rien en orientation, et puis... je n'ai pas désir à protéger quelqu'un que je ne connais pas.

// Les paroles étaient sèches, sans compassion, mais pourtant si vraies. Lorsqu'elle s'était retrouvée face à l'acromentule dans la forêt, elle s'était provisoirement alliée à son camarade vert et argent parce qu'elle n'avait pas eu d'autres choix. La jeune Rosidae détestait la compagnie des autres. Pour elle, le silence était son seul ami. Oh bien sûr, il y avait toujours Kalevala et cet idiot d'elfe, mais cela ne valait pas une présence humaine. Elle regrettait à peine son enfance dans la ville de Rovaniemi, lorsqu'elle était encore une fille très entourée et adorée de tous. //

- Alors, si tu n'y vois pas d'inconvénient, je vais plutôt marcher dans la direction du château.

// Arsenic ne s'attarda pas. Elle tourna le dos à l'autre fille et se dirigea d'un pas disgracieux vers l'école. Elle allait lentement, prenant soin de détailler le sol plus qu'il ne le fallait afin d'éviter de mauvaises surprises. Elle ne sut pas vraiment si sa camarade la suivait ou non, trop plongée dans ses pensées. //

[Weyna]

//La jeune Poufsouffle regarda les cheveux presque rouge de la vert et argent s'effaçaient lentement dérrière les arbres qui remplaçaientt sa présence. Weyna de nature peureuse surtout dans le noir se retrouvait donc seule, ce qu'elle n'aimait pas du tout. Elle décidas donc de faire quelque chose que le directeur de l'école lui avait expressement demandé de ne pas faire, du moins quand elle n'était pas seule. La jeune Edwards regarda donc autour d'elle puis tendit l'oreille pour voir si la jeune Serpentarde ne rebroussait pas chemin...//

*Arrête de rêver Weyna c'est pas son genre !*

//La voie était donc libre. Elle ferma ses yeux qui étaient devenus gris avec la lumière lunaire. Au bout de quelques secondes de concentration, de magnifiques ailes jaillirent de son dos dans un éclat de lumière aveuglant. Elles étaient blanche et drappé de magnifiques plumes qui la faisait ressemblé à un ange tout droit tombé du ciel, comme sa mère. Le sourire au lèvre elle s'envola vers le chateau laissant flottaient ses cheveux blond au vent. Espérant que personne ne l'ai remarqué durant son trajet, elle ouvrit la fenètre du dortoir d'un coup de baguette en récitant mentalement "Alohomora" et s'y inssera. Elle rentra ses ailes, se mit dans son lit, avec quelques grincement qui fit bougeais une Poufsouffle de sa chambre. Winey vint se serrer dans ses bras dans un miaulement et celle-ci s'endorma sur le rythme des ronronement de l'animal.//

[Ancien(ne)]

// Malgré le soleil étonnamment rayonnant pour un mois de février, l'air restait froid ce pourquoi la jeune Lundi resserra fermement sa cape autour d'elle lorsqu'elle franchit la porte du château. A son cou, elle avait entouré une grande écharpe blanche. Contrairement à ses camarades, elle refusait d'afficher de façon ostentatoire les couleurs de sa maison. Non pas, qu'elle n'en sois pas fière, il était évident qu'il n'y avait pas de meilleure maison que celle des serpentards mais tout simplement car elle trouvait cette tradition stupide.

La demoiselle avança tranquillement dans l'herbe humide du parc. Alors que la majorité des élèves était bien au chaud dans le château à profiter des derniers moments de repos du week end, la jolie brune elle avait envie de sortir, de prendre l'air. N'ayant aucune idée précise, Lundi se laissait guider par ses pieds appréciant le souffle froid sur son visage.

Soudain le regard de la jeune fille fut attiré par un endroit particulièrement charmant, légèrement à l'abris des regard. Contente de sa trouvaille, Lundi décida de s’asseoir un instant ici et de profiter de la vue. Il était à peine 18h pourtant déjà le soleil commençait à décliner fortement, dans peu de temps elle aurait droit à un magnifique coucher de soleil.

Se souciant peu de l'humidité du sol, la serpentarde voulu s'allonger par terre mais sitôt étendue, elle fut gênée par un caillou. Elle se redressa et entreprit donc de le déplacer. C'est en soulevant ce dernier qu'elle découvrit l'enveloppe. Curieuse, elle l'ouvrit. A l'intérieur elle trouva une lettre que le temps avait abimé. On pouvait pourtant encore lire quelques mots même si le nom de l'hauteur et la signature avait disparu.

Citation :

Chère Lucie Je ne suis point aussi courageux que toi ma chère lionne, Et cette lâcheté me ronge. Je me questionne : "Pourrai-je, sans trembler, lui dire : Je vous aime ? Mais quoi ? déjà je tremble ; et mon cœur agité craint autant ce moment que je l’ai souhaité." J'ai besoin de toi et tes conseils, je ne peux rester ainsi dans le doute mais je ne sais que faire. Je sais que nous sommes querellés et que tu veux point entendre parler de moi, mais j'ai si cruellement besoin d'une amie. En souvenir de tout nos moments passés ensemble, je te conjure de m'aider.

// Lundi parcourut les quelques lignes, puis avec mépris, elle jeta la lettre en soupirant. //

- Quel sentimentalisme à la noix! Se montrer si misérable pour une fille, quelle idiotie!