Salle de Cours n° 47

[Meliane]

// Les remarques de la serpentarde sans cœur, la firent bondirent, mais elle ne dit rien de plus. Elle garda pour elle une autre remarque qui la ferait rougir et se promis de tout faire pour récupérer le chat. Elle ne pouvait désâment pas le laisser dans les main de cette fille. Une couverture, elle était horrifié que l'on puisse traiter les être vivant ainsi. La fille partit avec la forme noir toujours dans ses bras, puis se fut à l'autre serpentarde. Elle s'approcha d'elle et posa ça main glacé sur son épaule. Le contact la fit frémir et elle pouvait le dire elle ne faisait pas vraiment la fière. La verte et argent, lui souffla dans l'oreille un conseille, que Méliane connaissait bien. Se taire, elle avait des fois du mal à contrôler ses paroles, d'habitude le conseil qui résonnait dans son esprit était "tourne 7 fois la langue dans ta bouche avant de parler". Elle ne répondit rien restant planté là ne sachant pas trop quoi faire, ni où se mettre.

Heureusement lorsque la deuxième fille sortit, l'atmosphère se détendit légèrement. Sa camarade plaisanta sur les évènements, ce qui réussit à tirer un sourire à la jeune fille. La poufsouffle se dirigea à son tour vers la porte avant de se retourner pour lui demander son nom. Perdu un peu dans ses pensées, Méliane n'avait pas bouger, mais la question l'a fit réagir. //

- Méliane, et toi ?

// Elle se dirigea à son tour vers la porte, son ventre gronda, mais elle n'avait qu'une seule envie aller se calfeutrer dans son lit en sécurité dans sa maison. Elle allait sortir de la salle lorsqu'elle repensa à son bâton. Retournant le chercher, elle le ramassa. //

** Très bonne excuse pour rentrer au dortoir. **

// Elle sortit ferma la porte. //

- Au fait merci, pour le cours.

// Souriant à sa camarade, elle montra le bâton : //

- Je ferais mieux d'aller le reposer à sa place.

[Weyna]

// Dans ce retournement de question Weyna perçut la différence entre les Verts et Argent et les autres maisons. La première fois qu'elle avait parlé avec la fille glaciale aux yeux bistre celle-ci n'avait pas pris la peine de s’intéresser à son prénom. //

- C'est jolie Meliane ! Comme la jeune fille qui le porte !

// Et c'est vrai elle était belle. Weyna avait toujours eu une passion pour les roux depuis la connaissance de la famille Weasley. Elle voulait d'ailleurs des enfants roux, ce qui était très peu probable. Elle les trouvait plus beau que les autres avec un petit plus qui faisait leurs charme et qui n'appartenait qu'a eux. Peut-être du à leurs taches de rousseur que possédait également la jeune Jaune et Noir et qui mettait en valeur ses beaux yeux bleus ainsi que ses cheveux orangé. //

- Moi c'est Weyna !

// La jeune Meliane la remercia pour sa démonstration. Elles partirent alors de la salle n°47 l'une se dirigeant vers la grande salle, l'autre vers le dortoir des blaireaux. //

[Ancien(ne)]

// Rosalya entra furtivement dans la salle de classe et repéra une tâche blanche au fond de la salle. Avec un sourire de prédateur, la blondinette se glissa sans bruit vers sa cible, se cachant dans les coins sombres de la salle, délaissés par la lumière qui coulait à flots des fenêtres. La Gryffondor s'approcha à pas de loups du bureau où le fuyard s'était caché et saisit une Chocogrenouille dans sa poche. Rosalya la lança sur le parquet, laissant le doux fumet de chocolat envahir la salle. La réaction de sa cible ne tarda pas. Une tâche blanche surgit à toute vitesse de dessous le bureau et bondit sur la friandise, opérant à un complexe dérapage dans le but de se retourner et de filer dans une cachette plus sûre. Malheureusement pour le chat, il ne fut pas assez rapide et se fit attraper par la peau du coup tandis qu'il essayait tant bien que mal d'avaler tout rond le chocolat. //

- Je te tiens ! Ah, ça, on pourra dire que tu m'en auras fait voir de toutes les couleurs, petit monstre ambulant! Combien de fois t'ai-je dit de ne pas sortir de la salle commune, Pacha ?

// Le gros chat blanc que Rosalya tenait par la peau du coup n'émit qu'un pathétique miaulement en guise d'excuse, ce qui n'attendrit pas la jeune fille, au contraire. //

- Oh, arrêtes ton cirque, Pacha! tu me sors ce miaulement à chaque fois que tu te fais rattraper, tous les deux jours à peu près. Et tu peux rêver pour que je te redonnes une Chocogrenouille, mon pauvre. T'es au régime, je te rappelles!

// Rosalya lui fit un petit sourire entendu et s'assit à un bureau où elle posa son chat. La première année se mît à le caresser distraitement en laissant ses pensées vagabonder, s'octroyant un moment de calme après une semaine éreintante. On ne pouvais pas dire que la pratique de la magie était facile... //

[Feurico Meander]

* VLAM *

// C’était le bruit prodigué par un claquement de porte. En l’occurrence, le claquement de porte du directeur de poufsouffle qui avait jeter Feurico dans cette salle, son bulletin dans sa main droite et un devoir dans sa main gauche. Il était maintenant enfermer dans cette petite salle d’étude, vide. Il y régnait un atmosphère lugubre, triste et ennuyante. Même le tableau en face semblait demander un peu d'action et le soleil qui s'aventurait par la vitre ne venait qu'empirer les choses car la température grimpait. //

- Vous le regretterez le jour ou je vous ferrai virez de Poudlard pour prendre votre place ! Sang De bourbe !

// Cette insulte était double. En effet, Feurico venait d’avoir un avis réservé sur son bulletin, l'interdisant de passer en 7eme année à cause d'une maudite mauvaise note en Étude des Moldus. Il en était scandaliser. Lui, le Grand Feurico Meander, échouer a ses examens a cause de l’étude des moldus ! Il ne pouvait le croire. Mais il était bien la. Dans cette maudite salle avec son examen de rattrapage.

Il essaya d'ouvrir la porte mais elle ne bougea pas. Il essaya d'employer des sortilèges pour forcer la porte. Alohomora n'eut aucun succès, et tout les autres sorts de projections non plus. Il du s'y faire a la raison de travailler. Lui qui est si flemmard, il n'avait qu'une envie, sauter par la fenêtre, mais même celle ci était scellée. //

- Nia nia nia ! Examen de rattrapage, n'importe quoi ! C'est quoi cette matière de gamin. Etude des moldus ? Et puis quoi encore ? Étude de la vie des fourmis en milieu hostile ?! Et dire qu'on paye un prof' pour ça...

// Il ne pouvait sortir de cette salle que lorsqu'il avait terminer son devoir. Il dut donc s’asseoir sur une chaise et regarda la table qui semblait n'avoir pas servi depuis des années tant la poussière s'envola lorsqu'il posa le paquet contenant son devoir. Il attendit sans rien faire. Il déballa le paquet et contempla les feuilles. Il fallait finir le plus vite possible alors il se mis en tête de travailler. Lorsqu'il lu le titre du sujet, il s'affala par terre mort de rire. Comment avez-t-on pu lui faire ça ? C’était vraiment la meilleure. De tout les sujets possibles, il du tomber sur celui-ci. Un hasard ? Feurico se mit a douter. //

- L’Aumône chez les moldus. Et puis quoi encore ? Non mais ! Donnez de l'argent aux pauvres ! Quel idée sordide ! Autant avoir un métier ! Et puis quoi encore. Au lieu de donner de l'argent, donner des offres d'emplois ! Haha.

// Malheureusement, il n'avait pas le choix. Il devait rendre ce devoir. Coûte que coûte. Avec la meilleure note possible. Il commença donc a feuilleter les pages du devoir. //

- Les moldus qui font l’aumône révèle souvent un caractère de compassions envers leurs frères moldus, et bla bla bla !

// C'en était trop. Il ne pouvait pas supporter cela. Mais il se força la main. Il continua a lire et a écrire. Enchaînant questions sur questions, réponses sur réponses, et quand il trouva son travail correcte, il attendit qu'on lui ouvre la porte. Pour passez le temps, il griffonna son nom dans toutes les tables de la pièce avant de se rendre compte que si le concierge le remarquait, il allait se faire réprimander. Mais finalement, qu'importe ? Dans quelques années, il reviendrait à Poudlard pour se venger de tout ce personnel. Alors le directeur de poufsouffle lui ouvrit la porte quelques minutes plus tard et Feurico, balayant sa houppe de cheveux qui lui tombait sur son front, lui remit le devoir, souriant malgré lui et dirigea en direction du lac. //

** Je prendrai ta place vieux chnoque. **

[Morgahne]

// Le grincement de la porte arracha une grimace à la jeune fille lorsqu'elle l'entrouvrit doucement. Morgahne jeta un coup d’œil dans la sa salle, personne ! Elle jeta la pile de livres et de notes qu'elle portait depuis la bibliothèque, trop bruyante à son goût. L'aiglonne retira sa robe de travail, son uniforme lui tenait déjà assez chaud ! Mais bizarrement garda son écharpe colorée. Elle regarda ses notes et soupira, elle n'avait vraiment aucun esprit de synthèse et en écrivait trop à chaque fois. La jeune fille regarda autour d'elle : la salle était poussiéreuse mais d'autres élèves semblaient y avoir passé du temps récemment. //

** Volontairement ou contre leur gré ? **

// Morgahne se releva et se dirigea vers le tableau. Avisant des morceaux de craie , certains de couleurs variées, elle commença à dessiner l'emblème de sa maison : un aigle prenant son envol. La petite blonde recula de quelques pas pour voir d'un autre angle ce qu'elle avait gribouillé à la va vite... l'aile avait besoin d'une petite retouche... le bec d'être plus pointu et... //

** Le livre sur les symboles à travers les âges ! Je ne devais pas le sortir de la bibliothèque ! **

// La jeune fille rangea ses affaires aussi rapidement qu'elle le pouvait et fila en direction de la bibliothèque en priant pour que personne n'ait remarqué l'absence de l'ouvrage. //

[Hikari]

[HRP : RP avec Forkylning Lopjy]

// Hikari, ayant une pause entre deux cours, cherchait un coin tranquille où elle pourrait se laisser aller à ses pensées. La salle commune était trop bruyante à son goût et la bibliothèque trop fréquentée. La jeune femme avait besoin d'être seule, ce qui s'avérait être complexe lorsque l'on vivait dans une aussi grande école. Elle finit par arriver devant une salle de cours. La septième année colla son oreille à la porte afin de s'assurer qu'elle n'était pas utilisée. Lorsqu'elle en fut sûre, elle ouvrit la porte et la referma à l'aide d'un sortilège pour que personne ne puisse la déranger. Jetant un bref regard à l'ensemble de la salle, elle se mit assise sur une des tables. Hikari sortit de son sac un parchemin ainsi qu'une bouteille d'encre bleu et une plume d'aigle. Elle avait décidé d'écrire à ses amis restés au Japon. Une larme roula sur sa joue. Ses amis lui manquaient et elle ne savait pas quand elle pourrait les revoir. La jeune femme essuya la larme et commença à écrire sur le parchemin. //

[Forkylning Lopjy]

//Forkylning comme à son habitude aimait beaucoup se lever tôt pour pouvoir profiter pleinement de sa journée, aujourd’hui il était environ 9h30, elle vagabondait dans les larges couloirs de pierres, balançant ses bras de gauche à droite, les couloirs étaient désertiques, pas une présence, mais en réalité c’était tellement logique puisqu’ils étaient tous en cours ! Aujourd’hui, Forkylning avait décidé d’aller lire dans un endroit calme où personne ne viendrait la déranger, elle posait son oreille sur chaque portes en bois, pour pouvoir écouter si il y avait quelqu’un, mais à son désespoir elle entendait dans chaque salle des murmures ou d'étranges cris, c’est alors quelques portes plus loin, elle se trouva devant une porte qu’elle n’avait jamais vu, peut-être qu’elle n’y avait pas fait attention, ou alors qu’elle avait des hallucinations, elle posa son oreille sur cette dernière, elle pouvait alors entendre le vent qui soufflait dehors, c’est alors qu’elle décida de pousser la porte où il y avait écrit : ‘Salle de Classe n°47’, de petits grincements se firent entendre, c’est alors qu’elle vit une jeune fille assise de dos, mais Forkylning savait qu’il n’y allait pas avoir d’autre salle libre ou tout du moins aillant un grand silence, elle avança puis referma alors la porte derrière elle ! La salle avait cette banalité : de forme rectangulaire, des tables ainsi que des chaises en bois, un goût de bouquins anciens. La vert et argent se mit alors assise à la première table qui se présenta alors devant elle, elle tira délicatement la chaise pour ne faire aucun bruit, posa à terre son sac où il y avait : des plumes, un encrier, ainsi qu’un livre de potions et de divination. C’est après s’être mise assise qu’elle vit quelques tables devant elle une jeune fille, aux cheveux raides lui arrivant un peu près en bas du dos, elle semblait écrire, c’est alors qu’elle entendit: //

Ploup

//La vert et argent entendait souvent ce bruit, elle connaissait par cœur sa résonance, c’était le bruit d’une larme coulait et ensuite qui touchait une surface, elle n’aimait pas que quelqu’un soit triste, même si elle ne la connaissait pas, elle décida d’aller la voire ! Elle avança vers elle puis se mit assise sur la chaise situé à côté de cette dernière puis elle dit doucement en se pinçant les lèvres ://

-Pourquoi pleures-tu ?

//La vert et argent la regarda avec un petit sourire en coin de bouche tout en attendant sa réponse.//

[Hikari]

// Perdue dans ses pensées, Hikari n'avait pas entendu la porte s'ouvrir et se refermer. Tranquillement, elle écrivait à ses amis : elle leur racontait son arrivée à Poudlard, le déroulement des cours, ses nouvelles connaissances, ... Ce n'est que lorsqu'elle entendit une voix douce lui demander pourquoi elle pleurait que la jeune femme se rendit compte, surprise, que, premièrement, elle pleurait et que, deuxièmement, elle n'était plus seule. //

** Mais comment a-t-elle fait pour rentrer ? **

// Hikari regarda la personne qui lui avait adressé la parole. L'écharpe verte qu'elle portait la renseignait sur sa maison. La Serpentard n'avait pas de traits particuliers, à part ses pommettes rouges. La jeune femme soupira. Elle allait devoir répondre à sa cadette, ce qu'elle fit, assez sèchement, n'aimant pas être interrompue dans ce qu'elle faisait, surtout quand elle s'enfermait explicitement : //

- Cela ne te regarde pas !

// Sans attendre la réaction de la Vert et Argent, qui n'allait pas tarder, elle en était sûre, Hikari se replongea dans sa lettre. C'est seulement à ce moment là que la bleu et bronze s'aperçut que ses larmes avaient humidifié le parchemin. Elle le sécha à l'aide d'un sort. Mais, le parchemin, combustible, prit feu. Stupéfaite, la jeune femme se dépêcha de l'éteindre. //

** Et flûte, ma maladresse m'a reprise. Pas étonnant que cette fille ait réussi à entrer ici, le sortilège n'a pas dû fonctionner. Maudite maladresse ! En plus, il va falloir que je réécrive la lettre ! **

[Forkylning Lopjy]

// La vert et argent regardait la jeune fille, elle semblait être complètement perdue dans ses pensées, peut-être n’avait-elle pas fait attention à son arrivée ou qu’elle ne voulait tout simplement pas lui adresser la parole, c’est alors que la jeune fille la regarda d’une façon étrange, comme si il y avait quelque chose qui n'allait pas chez elle, elle semblait regarder l’écharpe de Forkylning, peut-être était-elle soucieuse de sa maison, à vrai dire il y avait tellement de rumeurs péjoratives dessus que beaucoup de personnes s’en méfiaient, mais Forkylning ne voyait pas pourquoi, pour elle Serpentard était une maison bien et lorsque nous connaissons mieux les élèves de celle-ci, ils peuvent être adorables, c’est alors qu’elle lui lança quelques paroles pour répondre à sa question d’un ton ennuyé : //

- Cela ne te regarde pas !

// Forkylning ouvrit en grand ses yeux, c’était la première fois que quelqu’un lui parlé comme ceci, de tout évidence, cette personne semblait avoir un problème, mais le quel, elle le ne savait pas et si elle osait encore lui poser une question cela pourrait surement tourner au drame, elle la regarda, elle vit ses larmes coulaient sur ses joues si claires, c’est alors que tout à coup le parchemin où elle écrivait prit feu, Forkylning se leva alors brusquement, puis l’Aiglonne murmura quelques paroles avec sa baguette puis il s’éteignit, Forkylning se remit alors assise, elle hésitait, elle ne savait pas si elle devait continuer de lui poser des questions, ou bien retourner à sa place pour continuer à étudier, Forkylning aimait beaucoup faire de nouvelles connaissances, même si parfois elles pouvaient être très étranges, mais elle n’aimait pas qu'on la repousse, c’était décidé, elle allait parler à cette jeune fille même si elle ne voulait pas. C’est alors qu’elle dit d’un ton amusé : //

- Oh oh... pardon ! Je ne voulais pas te déranger, si tu veux je peux partir ! Je ne voulais en aucun cas te mettre mal à l'aise, je voulais juste voir si tu allais bien, car tu semblais être si triste, mais bon après, ce n'est pas mes affaires, tu fais ce que tu veux, si tu veux me parler, je te répondrai, mais si tu ne veux pas, je m'en irai !

[Hikari]

- Oh oh... pardon ! Je ne voulais pas te déranger, si tu veux je peux partir ! Je ne voulais en aucun cas te mettre mal à l'aise, je voulais juste voir si tu allais bien, car tu semblais être si triste, mais bon après, ce n'est pas mes affaires, tu fais ce que tu veux, si tu veux me parler, je te répondrai, mais si tu ne veux pas, je m'en irai !

// La jeune Serpentarde avait dit cela sur un ton amusé. Hikari fut étonnée que la jeune fille le prit ainsi. Vu le ton qu'elle avait employé, elle aurait dû être fâchée. Mais c'était le contraire, apparemment. L'aiglonne n'avait pas pour habitude de porter préjudice aux autres, de quelques façons que ce soit. //

** Mais, c'était avant... ** pensa amèrement Hikari.

// Quoiqu'il en soit, la jeune femme décida de se radoucir et essaya de se montrer aimable, estimant que, finalement, c'était sa faute si on la dérangeait alors qu'elle voulait être seule, n'ayant pas vérifiée le fonctionnement du sortilège : //

- Désolée, je pensais que j'avais fermé la porte avec un sortilège, mais apparemment celui-ci n'a pas fonctionné. J'avoue être triste, pour des raisons qui m'appartiennent, mais je n'ai aucunement envie d'en parler.

// Estimant qu'elle en avait assez dit pour que la jeune fille la comprenne et ne la prenne pas pour un âne, Hikari se pencha vers son sac posé sur le sol et en sortit un nouveau parchemin. Elle ajouta : //

- Ah, tu peux rester dans la salle si tu veux, cela ne me dérange pas, tant que tu n'es pas bruyante.

// Et sur ces mots, elle prit sa plume, la trempa dans l'encrier et recommença à écrire sa lettre ardemment. //