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Moi pas de vacance spécialement.

premières semaines permis poids lourd et après je reprend le travail.

Yes courage à toi.

Tu pars un peu ?

Bien et toi ?

Je vais poser mes mots ici. Pas pour qu’on me plaigne, pas pour qu’on me réponde, mais parce que j’ai besoin de l’exprimer, simplement, sans préjugé et sans honte.

Depuis aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été le garçon bizarre. Celui qui traîne dans son coin, celui qu’on remarque à peine ou qu’on trouve "trop". J’ai appris à camoufler cette peur ancrée au fond de moi, cette sensation d’être de trop partout où je vais, en me réfugiant dans les jeux vidéo. C’était mon échappatoire, mon refuge. Ça l’est encore parfois.

À travers ces mondes virtuels et aussi dans la vraie vie, j’ai croisé des personnes. Certaines sont restées, d’autres sont parties. Des gens que j’ai aimés, des amis que j’ai choisis, des personnes qui ont su m’épauler dans les moments sombres comme dans les instants de légèreté. Et à chaque fois que quelqu’un s’en va, même si c’est la vie, même si c’est "normal", ça laisse une trace. Une petite douleur discrète qu’on garde pour soi parce qu’on n’a pas toujours les mots.

J’ai aussi conscience d’être parfois insupportable. Trop présent. Trop gentil. Trop possessif. Trop maladroit. Je donne tout, sans mesure, parce que j’ai peur de perdre, peur qu’on m’oublie, peur de déranger. Mais malgré ça, je sais au fond de moi que je suis quelqu’un de bien. Quelqu’un sur qui on peut compter, à qui on peut parler sans masque, qui restera fidèle même après avoir été déçu, trahi ou ignoré. Je ne suis pas parfait, mais je suis sincère.

Et puis il y a eu ce début d’année. Cette rencontre qui m’a fait du bien. Une amitié sans ambiguïté, simple et précieuse. Quatre mois où j’ai retrouvé cette sensation d’exister, de compter pour quelqu’un. On rigolait, on partageait des petits bouts de quotidien, et ça m’a rappelé ce que c’était de se sentir moins seul.

Mais j’ai encore merdé. Ou peut-être que c’est juste la vie, je ne sais pas. Cette complicité s’est effacée doucement. Et j’ai regardé, impuissant, cette personne que je considérais comme une amie précieuse se tourner vers un autre. Je ne lui en veux pas. Je comprends. Mais ça fait mal. Parce qu’au fond, ça ravive toutes ces blessures que je traîne depuis trop longtemps.

Je n’écris pas ça pour qu’on me plaigne ou pour chercher des réponses. Juste parce qu’il fallait que ça sorte, quelque part. Pour ne pas le laisser me bouffer en silence.

Bonne journée à tous. Prenez soin de ceux qui comptent pour vous.

Bienvenu à ta nouvelle guilde

Citation de Cornelia :

Citation :

Coucou, as-tu déjà essayé d’aller faire un tour dans une rue ou un chemin plein de magie ?

J’ai cherchée dans quasiment toute le monde certain, Gwadalvenir et le Pays d’Is.. Je ne trouve rien..

Cordialement,

Cornelia.

Tu as essayé de passer un coup de fil à un ami ?

Bonjour à toi,

Oui il reste quelque personnes mêmes si pour la plus part nous sommes plus actif sur discord qu'ici.

Si tu as des questions à poser n'hésite surtout pas.

Cordialement,

Citation de Cornelia :

Bonjour,

Je ne peux toujours malheureusement pas aller à Poudlard car on me dit qu’il me manque toujours ma baguette..

Cordialement,

Cornelia.

Coucou, as-tu déjà essayé d’aller faire un tour dans une rue ou un chemin plein de magie ?

Citation de Tatianahosse :

Bonjour. J'ai une question. J'aimerais savoir où on peut trouver le baton du deuxième cours de 2e année des arts de combat.

Quel type de bâton te faut il déjà ?

Dans les brumes d’antan repose Ys,
Cité d’or, aujourd’hui submergée,
Les flots murmurent en un doux supplice,
L’écho d’un royaume oublié.

Mais surgit Krakal, monstre des eaux,
Gardien sombre aux griffes d’acier,
Nul ne peut briser son fardeau,
Ni fuir son regard enflammé.

Un pourfendeur, lame en main,
Brave la mer et son courroux,
Pour qu’Ys renaisse, ô destin !
Sous un ciel lavé de jougs.