Hiboux Nomade Notes
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Dans les Marches

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Ancien(ne)

Ancien(ne)





MessageDate du message: Lun. 25 Avr 2011, 14:13  Répondre en citant

// Le matin levé la jeune Kimah se levait de bonne humeur, surtout hâte d'aller à la Volière pour recevoir la lettre de sa mère qu'elle lui avait promis pour avoir de ses nouvelles. La jeune rousse se mit une robe à la couleur d'un bleu ciel. Ainsi que des ballerines toutes fines à la couleur de la neige...
Une fois habillée Kimah sortit de son dortoir et arriva dehors en face des grandes marches qui menait vers la Volière. Il y avait des petits rayons de soleil et une légère fraîcheur le matin même... C'est alors que quand elle arriva au milieu des grandes marches qu'elle vit une jeune femme aux cheveux rouges vifs ainsi qu'un jeune homme au torse nu. La jeune fille à la robe sentit un drôle de présage. Elle voyait bien que quelque chose n'allait pas. //

** Que font-ils à cette heure même ? Moi qui croyais que je venais seule ici. **

// Elle s'arrêta a demi-marches. Ne pouvant pas passer son chemin elle voulait savoir ce qu'il se passait. Alors elle s'arrêta et écouta un peu leur conversation, avant d'aller chercher sa précieuse lettre, de toute façon pas besoin de s'inquiéter son hibou attendrais jusqu'à la fin de la journée s'il le fallait... //

- Tu comprends maintenant pourquoi je ne me suis pas envie quand tu me dis que tu étais, toi aussi, une meurtrière ? Je suis bien pire que toi, mais j’ai agit selon les circonstances, et je ne le regrette pas…

// Quand elle entendit cela, la jeune fille aux cheveux roux fit un sursaut et une pierre tomba alors avec effroi qu'on la voit, elle s'abaissa. Quand il eut un moment de silence, les deux jeunes continuèrent leur conversation. //

- Voila… A toi de me raconter ce qu’était ta vie jusqu'à maintenant, enfin si tu me trouve encore digne de confiance, après avoir entendue ça…

// Kimah surprise se remit en route et entrant dans la Volière les deux jeunes la regardèrent fixement, un peu apeurer elle entra et quand elle prit sa lettre elle sortit à toute vitesse. Mais la jeune fille aux cheveux rouges lui tendit le bras en lui bloquant le passage... //


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Arsenic Rosidae

Ancien(ne)





MessageDate du message: Lun. 25 Avr 2011, 21:12  Répondre en citant

// Au grand soulagement de la vert et argent, le jeune homme accepta. Elle le rejoignit sur le petit muret en pierre, s'assit en tailleur et posa sa tête entre ses paumes - ses coudes étant postés sur ses genoux. Ses yeux naviguèrent du paysage, magnifique de cette hauteur, au visage de Thedric. Enfin, il commença. La Serpentarde absorba toutes ses paroles, au fur et à mesure qu'elles lui parvenaient. Son visage d'albâtre n'exprimait rien de particulier, sauf peut-être une attention démesurée. Le passage sur son enfance pénible lui rappela vaguement son propre passé et la douleur térébrante de ses cicatrices dans le dos refit soudainement surface. Arsenic contrôla sa souffrance et reprit son écoute. Elle vit clairement les yeux de son camarade s'embuer mais n'en fit aucun commentaire. Elle ne savait pas ce que c'était de pleurer, alors elle aurait bien été incapable de le réconforter. Finalement, vint le moment où il raconta le meurtre de ses parents. La jeune Rosidae ne retint pas sa surprise : comment un garçon à l'apparence aussi innocente que lui pouvait-il avoir tué ? Leurs regards se croisèrent, il avait retrouvé sa sérénité. //

- Tu comprends maintenant pourquoi je ne me suis pas envie quand tu me dis que tu étais, toi aussi, une meurtrière ? Je suis bien pire que toi, mais j’ai agi selon les circonstances, et je ne le regrette pas…

// Pire ? Pire qu'elle ? Elle ne l'aurait contesté pour rien au monde, de crainte de l'effrayer plus que nécessaire. Elle se contenta d'un petit hochement de tête, quasiment imperceptible, qu'elle trouvait approprié en la situation. //

- Voilà… A toi de me raconter ce qu’était ta vie jusqu'à maintenant, enfin si tu me trouves encore digne de confiance, après avoir entendue ça…

// Arsenic buta sur le mot confiance. Elle ne connaissait pas la confiance, comme elle ne connaissait rien à l'humanité. Elle ne lui fit pas remarquer qu'elle n'avait jamais eu confiance en lui et toussota, se préparant à narrer sa si misérable vie - du moins, du point de vue d'autrui. //

- Je suis née à Rovaniemi - en Laponie Finlandaise - dans une famille de sang-pur, évidemment. Je suis fille unique, aimée de mes parents. Mais tous deux ont toujours été très occupés par leurs... activités et j'ai souvent dû me débrouiller seule. Jusqu'à mon arrivée ici, je n'avais jamais été en cours en compagnie d'autres enfants. J'étudiais avec un précepteur.

// La jeune femme aux cheveux rouges fit une pause, reprenant son souffle et s'assurant que Thedric l'écoutait toujours. Elle avait besoin de le vérifier, comme elle avait besoin d'une oreille inconnue. //

- À la veille de mes neuf ans, j'ai écorché vive la petite voisine moldue de mon âge, pour une histoire de ballon il me semble. Pour fuir tout ragot et soupçon, ma famille a déménagé à Londres. L'amour que me porte mes parents n'a jamais été aussi puissant depuis ce temps.

// Le regard de la vert et argent se perdit au loin, parmi la cime des arbres peuplant le parc. Son esprit était en alerte, prêt à l'éventualité de se faire pousser dans le vide par son camarade ou de voir ce dernier s'enfuir. //

- Ce cher Arsène - mon père - a vite repris ses affaires et ma mère s'est donnée toute entière pour nous satisfaire, lui et moi. Rapidement, je fus placée chez une nourrice violente qui m'a à jamais marquée, au sens propre du terme. Je te passe les détails inintéressants sur sa punition. Tout ce qu'il y a d'autre à savoir sur moi est que je n'ai connu qu'un être que j'ai pu considérer comme ami. Il s’appelait Adrian et travaillait pour mon père. Seulement, un jour, il nous a trahi. Depuis, je ne crois plus en l'homme.

// Arsenic termina son récit d'un petit soupir. Elle n'aurait pas nié qu'avoir déballé quelques parties de sa vie ne la soulageait pas. Pourtant, d'énormes zones d'ombre demeuraient ; les coups qu'elle avait reçu de la main de son ancienne nourrice l'avait partiellement rendue amnésique. Finalement, elle ne savait presque rien de sa vie avant ses douze ans. Tout ce qu'elle venait de dévoiler était tout ce qui subsistait. La Serpentarde ferma les paupières, profitant de la chaleur du soleil caressant sa peau glacée. Alors que le silence venait de se déclarer maître des lieux, des bruits de pas brisèrent son règne prématurément. Une fille venait de passer devant eux, aussi peu subtile qu'un troll. La jeune Rosidae posa rapidement ses yeux bistre sur Thedric puis suivit du regard la nouvelle venue entrer dans la Volière. Les pensées de la vert et argent travaillaient à toute allure. Elle quitta son perchoir, rejoignit la petite porte en bois et attendit. Lorsqu'enfin les cheveux roux de la Poufsouffle - semblait-il - réapparurent, Arsenic lui bloqua le passage d'un geste du bras. Et s'adressant à elle aussi rudement qu'elle le pût, elle siffla : //

- Je te préviens de suite : si tu nous as entendus - ce dont je ne doute pas une seule seconde - et surtout, si tu comptes répéter le tout à tes idiots de compères, je n'hésiterais pas le moins du monde à t'arracher la peau avec mes ongles, et ce jusqu'à ce que tu meurs de douleur.

// Arsenic était redevenue Arsenic. //


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Ancien(ne)

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MessageDate du message: Mar. 26 Avr 2011, 19:11  Répondre en citant

//Après que Thedric eu raconté son histoire et qu’il était redevenu comme avant, souriant et « insouciant », Arsenic le regardait comme avec un peu de surprise… En effet, qui aurait put soupçonner cela ? Puis la Serpentard commença son histoire à elle… La souffrance qu’elle avait ressentie, le meurtre qu’elle avait commis, la solitude qu’elle avait connue au cours de son enfance comme aujourd’hui… Aux mots « petite voisine moldue de mon âge », cependant, Thedric retint son souffle… Le meurtre d’un enfant n’était pas courant, mais n’en était pas moins horrible… Cette petite fille s’envolait à peine qu’elle se faisait déjà écrasé au sol par une petite sadique… Mais le jaune et noir décida que la jeune femme avait le droit a une deuxième chance… Le « pardon », il n’était pas vraiment bien placé pour le donner mais il savait que cette fille y avait le droit…//

//Plongé dans ses pensées, il ne remarqua la fille de son année et de sa maison que quand Arsenic se leva pour l’accoster et il la vit lui céder le passage, sans trop savoir quoi faire…//

- Je te préviens de suite : si tu nous as entendus- ce dont je ne doute pas une seule seconde - et surtout, si tu comptes répéter le tout à tes idiots de compères, je n'hésiterais pas le moins du monde à t'arracher la peau avec mes ongles, et ce jusqu'à ce que tu meurs de douleur.

*Erf ! C’est pas vraiment le moment pour les ennuis ! *

//La voix et le visage de sa condisciple avait complètement changé en quelques secondes… Elle était devenue dure comme lors des premières paroles qu’elle lui avait crachées. Se levant tranquillement de son perchoir, Thedric s’approcha des 2 jeunes femmes sans se presser… Il mit doucement sa main dans la poche arrière de son « baggy » (c’est comme ca que les moldu appellent ce froc !), se préparant à utiliser sa baguette a tout moment… Il détestait utiliser la magie contre des personnes, mais Arsenic pouvait déraper à tout moment… Bien sur, il ne lui ferrait pas de mal, mais il pouvait toujours les immobiliser le temps nécessaire pour effacer les souvenirs de la fille. //

-Euh… Salut ! Ecoute, même si la réaction d’arsenic est assez…soudaine, elle a entièrement raison, si tu as entendue quoi que ce soit, dis le et nous ne nous énerveront pas… N’est-ce pas, Rosidae ?

//Il lui lança un regard qu’il voulait sévère mais il douta que ca soit convainquant : les petits tortillements aux coins de ses lèvres trahissait son amusement… Encore un défaut du Poufsouffle : il avait tendance à tordre le nez d’autrui au moment ou il ne le fallait vraiment pas…//


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Ancien(ne)

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MessageDate du message: Mar. 26 Avr 2011, 19:40  Répondre en citant

-Euh… Salut ! Ecoute, même si la réaction d’arsenic est assez…soudaine, elle a entièrement raison, si tu as entendue quoi que ce soit, dis le et nous ne nous énerveront pas… N’est-ce pas, Rosidae ?

// Aussitôt dit aussitôt fait la jeune fille aux cheveux roux n'hésita du moins au monde à répondre au beau jeune homme qu'elle avait complètement oublié. Kimah le regardai fixement, puis le moment venu elle laissa parler sa jeune voix clairvoyante aussi délicat qu'un chant d'oiseau. Et elle s'adressa à la jeune fille Rosidae - semblait-il a son nom aux dernières paroles du jeune homme -. //

- Écoute moi bien, oui je l'avoue je vous aient entendus mais sache bien que je ne vous dénoncerez point. Je peux te comprendre je te vois souvent seule un peu partout perdue dans les pensées, les gens te regardent d'un air supérieur et même des fois comme si tu étais un monstre avec des yeux perçants. Moi je suis un peu comme toi, mais ceci dit pas tout à fait. Je ne suis pas tout à fait seule comme toi, je dois avoir deux ou trois amis, je vis à Londres près d'une forêt dont il neige continuellement. Je m'y refuge je songe sans cesse à la mort et la vie, je vis dans des souffrances de pensées plus audieuses que la vraie mort. Moi tuer ? Peut être bien que oui peut être que non. Crois-je quand j'étais petite j'avais tuer un oiseau l'engouffrant dans mes mains rose pâle. Moi qui suit une fille tellement délicate que du verglas... Je ne suis qu'une Poufsouffle qui a vécu avec tant de souffrance depuis la mort de mon cher père. Je veux découvrir qui l'a tué, et je ne me retiendrais pas du moins au monde de le/la tuer de mes propres mains. Je sais tout ça est complètement déplacé mais c'est comme ça que je suis devenue.

// Aux mots assoiffés de sang, Kimah s'arrêta désespérée plus que jamais. La jeune fille se mit à pleurer de ses propres yeux dégoulinant ainsi des larmes tellement froides... Elle était perdue dans ses pensées, elle s'assit par terre sur les goudrons bistres et laissa tomber sa lettre. Elle attendait que les deux jeunes la fassent souffrir des conséquences. //

- Allez-y taper moi, faîtes ce que vous avez envie de faire tout cela m'est complètement égal.

// Elle vit bien le jeune garçon, mettre la main dans son baggy et touchant ainsi sa baguette. Elle voyait très bien la forme de la baguette pas si difficile de voir à travers ses poches. Cette dernière attendit le silence complet quand soudain... //


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Arsenic Rosidae

Ancien(ne)





MessageDate du message: Mar. 26 Avr 2011, 23:33  Répondre en citant

- Euh… Salut ! Écoute, même si la réaction d’Arsenic est assez… soudaine, elle a entièrement raison, si tu as entendu quoi que ce soit, dis le et nous ne nous énerverons pas… N’est-ce pas, Rosidae ?

// Cette dernière haussa les épaules ; le "nous" n'avait pas sa place dans son vocabulaire. Deux petites fossettes apparurent aux coins de ses fines lèvres roses lorsque Thedric lui lança un regard étrange, sans doute le voulait-il sévère mais son amusement prenait le dessus, et, par la même occasion récréait Arsenic. //

- En effet, "nous" ne "nous" contrarierons pas... Cependant, je peux aisément sauter cette étape et te faire souffrir sans ressentir la moindre colère.

// Les yeux habituellement bistre de la Serpentarde venaient à nouveau de basculer dans l'anthracite, comme à chaque fois où son esprit devenait incontrôlable. Elle écouta les explications de la nouvelle venue, son visage devenant de plus en plus rude au fur et à mesure que la voix lui parvenait. Comment une inconnue dont elle se moquait éperdument pouvait-elle penser que sa misérable vie l'intéressait. Néanmoins, elle ne releva pas cette partie du récit. //

- Penses-tu réellement que les regards que me lancent les autres élèves sont supérieurs ? Je te conseille de lever la tête, tu comprendras peut-être à quel point je les effraie. Et ne me compare pas à toi ! Qu'avez-vous tous à vous sentir exclus alors qu'au fond vous êtes tous semblables ?!

// L'exaspération de la vert et argent atteignit son paroxysme lorsque la fille se mit à pleurer. Elle la regarda, sans une once de compassion, s'asseoir sur les pierres plates des grandes marches et posa rapidement ses yeux sur la lettre qui venait de s'échapper des mains de la Poufsouffle. //

- Allez-y, tapez moi, faites ce que vous avez envie de faire tout cela m'est complètement égal.

// La jeune Rosidae tourna sa tête vers Thedric, un large sourire sur les lèvres. Son visage exprimait clairement un penchant pour la bestialité, l'air de dire : "elle m'invite à la frapper, comment refuser ?". Pourtant, elle n'en fit rien. La main du garçon avait disparu dans une poche arrière et indiquait clairement qu'il tenait sa baguette. Or, Arsenic ne voulait pas se battre contre lui et quelque chose lui disait qu'il prendrait la défense de sa condisciple si elle attaquait la pauvre chose toujours noyée par sa tristesse sur le sol. Aussi soudainement que possible, ses yeux se dépouillèrent de leur éclat ; ses pensées folles venaient à nouveau de l'envahir. Elle perdit tout contrôle d'elle-même et, avec une habileté étonnante, la Serpentarde grimpa sur le muret. Elle se plaça bien droite, dos au vide, les bras écartés - comme elle l'avait lu dans des dizaines de romans. Elle s'adressa au garçon : //

- Cela fait fort longtemps que je ne me suis pas divertie. Je serai enchantée de te voir torturer ta misérable camarade. Qu'en dis-tu ? Si tu acceptes, je t'offrirai mon elfe de maison, Enfer, Ronder ou quelque soit son stupide nom. C'est une proposition qui ne se refuse pas... De toute manière, si tu la déclines, je laisse l'apesanteur me mener jusqu'au sol, dans une chute terrible, et tu devras alors demander réparation à ta conscience.

// Le visage d'albâtre était fermé, plus étanche que jamais. Elle avait complètement omit la présence de l'autre fille et se contentait de fixer Thedric, le regard vide. Il lui arrivait parfois de se comporter étrangement, de perdre la notion du temps ou de devenir subitement cruelle. La mort ne l'effrayait en rien ; d'ailleurs, elle tourna légèrement la tête pour observer ce vide qui l'appelait. La Volière était située à une hauteur insoupçonnable. Le mouvement, pourtant léger, lui fit perdre momentanément l'équilibre. Toutefois, elle ne fit rien pour le retrouver et ne dut sa sauvegarde qu'au vent assez puissant à cette altitude qui la redressa. Le souffle frais lui parcourut l'échine ; aucune situation n'avait jamais été aussi grisante qu'en ce moment. Personne n'avait jamais compris comment fonctionnait l'esprit de la jeune Rosidae, pas même elle. De temps à autre, il semblait qu'elle devenait une marionnette, dirigée par une âme impitoyable. Et lorsqu'Arsenic revenait à elle, tout souvenir de ce qui s'était passé se gravait dans sa mémoire et lui façonnait une nouvelle vie ; une vie monstrueuse. Jamais la jeune femme aux cheveux rouges n'avait cherché à se maîtriser : elle n'y aurait trouvé aucun avantage. Alors que là, son personnage lui permettait de vivre tranquillement, loin des autres et des ennuis qu'ils apportaient. La chevelure au vent, les yeux plissés et le corps en croix, elle attendit. //


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Ancien(ne)

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MessageDate du message: Mer. 27 Avr 2011, 21:57  Répondre en citant

//L’inquiétude qui commençait a monter en Thedric se confirma avec le regard que lui lança Arsenic ce regard… Ses yeux avait virés au noirs profond et ils étaient surtout remplis de folie : elle avait perdue, semblerait’ il, perdue le contrôle d’elle-même… Le cœur du Poufsouffle manqua un battement quand la vert et argent se mit droite comme un piquet, sur le muret ou ils étaient tranquillement assis quelques minutes plus tôt. Elle le fixait, avec toujours dans le regard la folie qu’elle retenait jusqu'à présent.//

*Merde… Qu’est-ce qu’elle me fait là ?*

-Cela fait fort longtemps que je ne me suis pas divertie. Je serai enchantée de te voir torturer ta misérable camarade. Qu'en dis-tu ? Si tu acceptes, je t'offrirai mon elfe de maison, Enfer, Ronder ou quelque soit son stupide nom. C'est une proposition qui ne se refuse pas... De toute manière, si tu la déclines, je laisse l'apesanteur me mener jusqu'au sol, dans une chute terrible, et tu devras alors demander réparation à ta conscience.

//Le jaune et noir fut si surpris qu’il ne put rien répondre, rien penser sur un long laps de temps… Elle avait définitivement un câble… Il se fichait royalement d’avoir un petit « esclave » a ses ordres… Il ne pouvait pas se permettre de ne pa torturer la jeune fille qui pleurait à ses pieds… Mais par dessus tout, il n’avait surtout pas envie que celle qu’il considérait maintenant comme a première « amie » sorcière…//

*Qu’est-ce que je vais faire, put*in ?*

//Décidant qu’il s’était fait repérer depuis longtemps, il sortit déjà sa baguette de sa poche… Bois de Houx, Nerf de cœur de dragon, 30,5 cms, avait dit ce cher Ollivander… Pour le Poufsouffle, ca ne voulait rien dire, la baguette n’était qu’un instrument pour assouvir ses envies… Mais pourquoi pensait-il a de choses aussi futiles dans un moment pareils ? Se retournant vers la jeune « Kimah »,( il lui semblait que c’était comme ca qu’on l’appelait dans la salle commune) , il pointa son éventuel instrument de torture sur le cœur de son éventuel victime et… il ne put se résoudre a prononcés une seule formule… Il était assez déçu de lui-même… Ce n’était qu’un lâche incapable de prendre des responsabilités… Mais faire ceci le répugnait, il s’était promis de ne jamais faire de mal a personne, de ne jamais répandre la haine qu’il avait connut tout petit, quand il était rentré a Poudlard… Laissant le bras qui tenait sa baguette ballant contre son corps, il releva la jeune fille de force et se regarda une nouvelle fois Arsenic dans le blanc des yeux ( Si puis-je dire =).//

-Rosidae, écoute moi... Je n’ai aucune envie de te voir te fracasser le crâne tout en bas… Nous allons emmené cette fille a l’infirmerie après l’avoir soumis au sortilège de l’amnésie… Nous dirons qu’elle est tombé devant nous et qu’elle s’est cognée la tête, ou je ne sais quoi … S’il te plaît Arsenic… Reviens a toi, je n’ai pas envie de te perdre, toi aussi…

//Les yeux du jeune homme était implorant et une larme, une seule, lui coulait sur les joues…//


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MessageDate du message: Jeu. 28 Avr 2011, 13:24  Répondre en citant

// Kimah vu Thedric - bien comme ça qu'on le nommait dans la salle commune - qui d'un geste fort ne put prononcé une seule formule. Kimah tout en pleurant ne regardait que ce dernier, elle lui semblait qu'il était triste, déboussolé. Elle ne put s'empêcher de songer ce qu'elle devait faire dans la scène : Pleurer jusqu'à qu'on la tape ? Qu'on lui lance un sortilège d'amnésie ? Ou tout simplement qu'elle se défende ? Toutes ces phrases circulaient dans sa tête, elle devait en choisir un en réfléchissant en elle même... Kimah continuait de pleurer, la jeune Rosidae voulait elle même se fracasser le crâne, mais pourquoi ? C'est alors que Thedric me leva doucement et même de force, des marches bistres. Il regardait Rosidae d'un air pensif et un peu déçu de ce qu'elle faisait. Il l'a regarda de nouveau... //

-Rosidae, écoute moi... Je n’ai aucune envie de te voir te fracasser le crâne tout en bas… Nous allons emmené cette fille a l’infirmerie après l’avoir soumis au sortilège de l’amnésie… Nous dirons qu’elle est tombé devant nous et qu’elle s’est cognée la tête, ou je ne sais quoi … S’il te plaît Arsenic… Reviens a toi, je n’ai pas envie de te perdre, toi aussi…

// Croyant qu'elle était dans les vapes, Kimah les écoutaient aussi, elle n'avait aucune envie de bouger des grandes marches et d'aller dans l'infirmerie. //

** Me lancer un sortilège d'amnésie ? Je ne peux pas me laisser faire aussi facilement. **

// Ensuite Kimah se débattait des mains et des bras de Thedric. Elle était en colère, trop en colère qu'elle ne pouvait plus se contrôler. Ces larmes devinrent chaudes comme un volcan en éruption, son corps ce mit à brûler d'avantages comme si on lui avait mit des tonnes de mentaux aussi chaud qu'un pelage d'ours polaire. Ses yeux mécontents et contrariés faisait d'elle plus forte et sauvage. //

- Vous tous me croyant aussi fragile ? Bien sûr à vos yeux je ne suis qu'une victime, pleurant comme une larve ! Je peux très bien me laisser faire ou très bien être plus féroce qu'un sois disant "requin blanc". Non là ça va trop loin, m'emmener à l'infirmerie vous me croyez folle, abattue ? Pour me faire du bien ? Tout cela ne va pas m'aider, jamais plus je ne me laisserais faire aussi facilement et pitoyablement !

// De sa miniature poche elle sortit sa baguette la pointant vers Arsenic, et ensuite de Thedric. Kimah ne pouvait bien sûr faire cela, mais rien ne disait vrai elle était presque capable de tout. N'ayant qu'un proche elle se moquait vivement des conséquences qui allaient suivre. Mais elle tenait plus que tout au monde à sa mère qui lui envoyaient des lettres sans cesse. En pensant à ça, Kimah avait complètement oublié la lettre, en suivant des yeux les marches elle ne voyait plus.

** Argh où est-elle ? **

// Elle commençait à s'inquiéter un peu, mais elle reprit sa colère auparavant. Elle regarda des yeux la jeune Rosidae, avec un regard de soupçon. //

- Rosidae si tu as touché ma lettre, je n'hésiterais pas à te faire souffrir de mes propres sortilèges. Et puis ne te croit pas plus forte que des autres sorciers au monde. Tu n'es qu'une simple sorcière à Poudlar de 7ème année.

// Kimah arrêta immédiatement son discours et pointa de nouveau sa baguette sur Thedric qui ne disait rien, abasourdi... //


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Arsenic Rosidae

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MessageDate du message: Jeu. 28 Avr 2011, 14:36  Répondre en citant

// Les paupières closes et les cheveux virevoltant dans le vent, la jeune Rosidae savourait la situation. Le temps semblait s'écouler bien plus lentement et les respirations résonnaient fort dans son esprit. Ses idées s'étaient embrouillées, elle n'avait plus conscience de ce qu'elle faisait. Son penchant pour la cruauté et la folie - non pas la folie douce - lui apportaient un sentiment de bien-être exaltant. Et tandis que les sanglots de l'autre fille continuaient de l'exaspérer, elle croisa le regard de Thedric et lui sourit. De ce sourire auquel on aurait pu ajouter le mot "adieu". La Serpentarde était persuadée que jamais le jeune homme n'aurait attaqué sa condisciple ; elle s'y était préparée. Son pied gauche tenta l'absurde en reculant de quelques centimètres sur le muret : le talon était désormais dans le vide. Pourtant, le Poufsouffle sortit sa baguette. Surprise, Arsenic eut un haut le cœur. Elle observa le manège du garçon d'un œil suspicieux ; il lui était difficile de donner sa confiance, même à quelqu'un à qui elle avait dévoiler sa vie. Elle avait eu raison de se méfier, Thedric venait de relever sa camarade et avait détendu son bras. //

- Rosidae, écoute moi... Je n’ai aucune envie de te voir te fracasser le crâne tout en bas… Nous allons emmener cette fille à l’infirmerie après l’avoir soumise au sortilège de l’amnésie… Nous dirons qu’elle est tombée devant nous et qu’elle s’est cognée la tête, ou je ne sais quoi … S’il te plaît Arsenic… Reviens à toi, je n’ai pas envie de te perdre, toi aussi…

// Les yeux du garçon s'embuèrent et une petit larme s'en échappa. Le choc que ressentit Arsenic à ce moment précis était difficile à mesurer. C'était comme si ses neurones avaient été rebranchés en eux. //

* Il pleure pour moi... ?*

// Pour la première fois depuis fort longtemps, la vert et argent prit conscience de ses actes. Elle s'éloigna du bord de pierre et descendit du muret, ses yeux de nouveau bistre plongés dans ceux de Thedric. Alors qu'elle hochait la tête en sa direction, l'autre fille sembla émerger de sa tristesse ou vague de panique. Elle se débattit et pleura de plus belle. Même si la jeune Rosidae était revenue à elle, l'envie insoutenable de la gifler lui titillait les doigts. Elle la regarda sans trembler sortir sa baguette et la pointer sur elle, avant de la diriger vers son geôlier. //

- Vous tous me croyez aussi fragile ? Bien sûr à vos yeux je ne suis qu'une victime, pleurant comme une larve ! Je peux très bien me laisser faire ou très bien être plus féroce qu'un sois disant "requin blanc". Non là ça va trop loin, m'emmener à l'infirmerie vous me croyez folle, abattue ? Pour me faire du bien ? Tout cela ne va pas m'aider, jamais plus je ne me laisserais faire aussi facilement et pitoyablement !

// Le regard que lui lança Arsenic aurait pu être comparé à celui qu'elle avait lancé à Hander avant de l’assommer, un jour alors qu'il couinait sans cesse. Cette fille avait vraiment un manque d'assurance impressionnant. Ou bien était-elle folle à lier ? Soudain, son regard changea ; il se posa sur la Serpentarde et émit une sorte de défiance. //

- Rosidae si tu as touché ma lettre, je n'hésiterais pas à te faire souffrir de mes propres sortilèges. Et puis ne te crois pas plus forte que des autres sorciers au monde. Tu n'es qu'une simple sorcière à Poudlard de 7ème année.

// Vivement, la vert et argent s'empara de sa baguette en épine noir et se rapprocha dangereusement du couple. L'autre fille avait été trop loin. Comment osait-elle la menacer ? Elle posa sa baguette sur le front rose claire de sa rivale, dégageant au passage plusieurs mèches rousses. //

- Si je ne suis qu'une simple sorcière, qu'es-tu donc, toi, misérable créature ? Tu ne m'arrives pas à la cheville, sais-tu pourquoi ? Parce que tu ne connais rien de la vie et de sa bestialité !

// Elle se recula quelque peu, peu désireuse de toucher plus longuement une fille comme elle. Après quelques secondes de pause, elle ajouta dans un sifflement glacial : //

- Qu'aurais-je fait d'une lettre appartenant à une personne aussi ennuyeuse que toi ? Je ne l'ai pas, ton trésor. Sûrement, avec chance, le papier s'est-il envolé.

// Elle ponctua ses propos d'un haussement d'épaules, marquant son désintérêt total pour la chose. //


Dernière édition effectuée par un ancien joueur (Sam. 06 Aoû 2011, 14:56) ; édité 1 fois

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MessageDate du message: Ven. 29 Avr 2011, 22:38  Répondre en citant

//Avec soulagement, Thedric vit Arsenic descendre de son perchoir en le fixant, encore une fois, dans ses yeux verts… Elle s’arrêta a coté de Kimah et lui lança un regard qui en disait long sur son mépris qu’elle avait pour elle… Assez vite, la Poufsouffle se mit a défier Rosidae et cette dernière s’emporta, pointant sa baguette sur le front de sa condisciple.//

- Si je ne suis qu'une simple sorcière, qu'es-tu donc, toi, misérable créature ? Tu ne m'arrives pas à la cheville, sais-tu pourquoi ? Parce que tu ne connais rien de la vie et de sa bestialité !

*Ah… Les bonnes femmes, tiens…*

- Qu'aurais-je fait d'une lettre appartenant à une personne aussi ennuyeuse que toi ? Je ne l'ai pas, ton trésor. Sûrement, avec chance, le papier s'est-il envolé.

//Le petit haussement d’épaules qui marquait son désintérêt pour la lettre de Kimah était « de trop »… Il fallait que le jaune et noir prenne le contrôle de la situation avant que ça ne dégénère…

-Bon… D’abord, Arsenic, s’il te plaît, ne la frappe pas, reste zen, il n’y a aucune raison de s’énerver…

//En disant ça, le jeune homme se mit entre les deux filles pour éviter tout affrontement ouvert, il essayait encore une fois de croire le regard de la vert et argent pour « endiguer » la folie qui pourrait ressurgir et amenuiser fortement l’espérance de vie de la 6eme année… Il se retourna ensuite vers celle-ci.//

-Bon, Kimah, no stress, on va retrouver ta lettre… Il suffi qu’on descende tranquillement cet escalier et qu’on fouille un peu partout dans le secteur … Quand on l’aura retrouvé, tout le monde rentrera tranquillement dans son dortoir manger le dernier Fizbiwiz qu’il nous reste… D’accord ?

*Thedric Ardnassac, Le Grand Pacificateur ! Haha, la bonne blague !*


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Ancien(ne)

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MessageDate du message: Sam. 30 Avr 2011, 11:04  Répondre en citant

- Qu'aurais-je fait d'une lettre appartenant à une personne aussi ennuyeuse que toi ? Je ne l'ai pas, ton trésor. Sûrement, avec chance, le papier s'est-il envolé.

// En disant cela, Kimah se vexa était-elle vraiment sans coeur ? N'avait-elle aucune pitié ? Pour la jeune Poufsouffle il n'y avait aucune chaleur de nulle part dans ses mots souffrant de froid et de tristesse de sa rivale. Elle fut alors un petit haussement des épaules autrement dis qu'est-ce qu'elle en avait à faire à une lettre ? Puis d'une seconde près Thedric prit le contrôle de la parole avant que ça en fasse de trop et que ça allait sûrement finir en bataille sanglante. //

-Bon… D’abord, Arsenic, s’il te plaît, ne la frappe pas, reste zen, il n’y a aucune raison de s’énerver…

// C'est alors que ce dernier se mit entre les deux jeunes filles. Bien sûr Kimah n'allait pas blesser un compagnon de sa maison, mais pour Arsenic elle pouvait très bien. Ce manque de confiance en elle, désespérer Kimah. Le jeune Poufsouffle se retourna vers la jeune rousse. //

-Bon, Kimah, no stress, on va retrouver ta lettre… Il suffi qu’on descende tranquillement cet escalier et qu’on fouille un peu partout dans le secteur … Quand on l’aura retrouvé, tout le monde rentrera tranquillement dans son dortoir manger le dernier Fizbiwiz qu’il nous reste… D’accord ?

// La Poufsouffle le regarda d'un air étrange, pourquoi voulait-il l'aider alors qu'on allait presque se battre ? Tout ça, mettait Kimah sans voix. Elle ne laissa pas longtemps cette phrase dans sa tête qu'elle le regarda d'une pure gentillesse... //

- M'aider ? Comment peux-tu dire cela alors que j'allais quasiment me battre contre cette jeune 7ème ?

// Mais elle regarda la jeune fille aux cheveux rouges vifs, elle ne bougeait quasiment pas. Tout cela mettait Kimah mal à l'aise. Peut être que pendant que Kimah et Thedric cherchaient la lettre allait-elle faire un mauvais coup... C'est alors que les deux jeunes Poufsouffles commencèrent à chercher la lettre tant espérée par la jeune rousse. A peine que cette dernière se baissa pour regarder dans les marches bistres, elle fusionner du regard sa rivale. Puis elle se releva en mettant sa baguette dans sa petite poche. Elle laissa tomber une seule goutte de ses yeux marron ébène.

- Ecoute Arsenic je suis désolée, peut-on en finir ? Nous allons pas continuer à nous regarder comme des monstres à chaque fois que nous nous verrons et que nous avions tant envie de se faire souffrir l'une et l'autre. Excuse moi Arsenic, si je n'étais pas arrivée peut être que sa ne serait jamais produit. Mais je m'en excuse sincèrement.

// Kimah d'un geste de bras lui tendit la main en guise d'amitiée... //


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