Grande Salle

[Arsenic Rosidae]

- Tu penses vraiment que tu as besoin de me donner la PERMISSION pour pouvoir t’adresser la parole ? Non mais , quand même. Je sais qu’au fond de toi, tu es capable d’être encore plus gentille que ça, n’est-ce pas ? Non, pas besoin de te poser la question, je le sais c’est tout. Tiens, veux-tu venir te promener avec moi, on pourrait discuter, si tu veux ?

// La Serpentarde fronça les sourcils, et, en un temps record, ses yeux se peignirent d'une teinte anthracite. Gentille ? Oh non, elle ne l'était pas. Elle ne l'avait jamais été et n'avait aucune raison de le devenir. //

- Comment peux-tu savoir un fait qui est faux ? JE NE SUIS PAS GENTILLE !

// Ignorant tous les regards à nouveaux tournés vers elle, Arsenic serra le poing retenant la fourchette et l'abaissa rapidement vers la main que l'autre fille lui tendait. Son visage était marqué vers la rage et, s'il n'y avait pas eu autant de témoins, elle aurait transpercé la paume devant elle. Au lieu de ça, elle suspendit son geste au dernier moment, les dents du couvert à seulement quelques millimètres de la peau. Le sourire courtois de la vert et argent s'était envolé et les traits d'une profonde fureur abîmaient sa figure. //

- J'espère que tu comprends que si nous avions été seules, trois beaux trous orneraient ta petite main.

// Elle s'était penchée par-dessus la table pour chuchoter ces mots près de l'oreille de la Serdaigle. La main droite comme appui sur la table - la fourchette toujours prisonnière de sa poigne, elle tendit la gauche vers le visage de sa camarade et passa une main dans les cheveux aux couleurs variantes. Elle avait toujours aimé le violet. Elle regardait presque amoureusement la chevelure et se redressa avant que l'envie d'en arracher une poignée lui prît. Une fois qu'elle fut de nouveau droite face à la bleu et bronze, elle parcourut la pièce du regard. Tous étaient retournés dans une contemplation exagérée de leur assiette ; Arsenic sourit, satisfaite. //

- Il est l'heure. L'heure de s'enfuir.

// Il n'aurait pas fallu que la concierge entrât à ce moment, alors que le silence qui planait dans la salle était si suspect. La jeune Rosidae planta sa fourchette dans un des plats présents sur la table, offrit un petit sourire désagréable à sa camarade et se dirigea vers la sortie, d'un pas disgracieux. //

[Maya Brown]

// Après lui avoir dit cela, elle la regardait dans les yeux. Elle lui avait tendu la main, pour qu’elle puisse venir se promener, mais elle avait plutôt l’air à froncer les sourcils.. et à prendre son air de méchante... //

- Comment peux-tu savoir un fait qui est faux ? JE NE SUIS PAS GENTILLE !

// Elle avait toujours sa main tendue vers la Serpentarde, mais tout se passa si rapidement ! La fourchette que l’autre fille tenait s’abaissa si vite vers la sienne mais s’arrêta si brusquement, à quelques millimètres de la main qui faisait signe d’invitation. Le sourire de la Serdaigle s’esquiva, finalement. //

- J'espère que tu comprends que si nous avions été seules, trois beaux trous orneraient ta petite main.

// Oh. Ça, elle n’en doutait pas, elle la croyait. La vert et argent avait voulu utiliser SA manière forte ? Alors c’était autour de la Bleue et Bronze de jouer, aussi. La Grande Salle au complet était plombée dans un silence hors de nature. C’était le moment parfait pour elle de faire son chant d’elfe, pour calmer les ardeurs d’Arsenic. Elle en était capable, oui. Mais avant, elle voulait essayer autre chose... //

- Tu n’as pas d’amis et je le sais. Sauf peut-être un ou deux. Et moi, je reconnais en toi les qualités les plus profondément cachées. Donc que tu le veuilles ou non, oui tu es gentille. Ce masque que tu te fais depuis 7 ans, ici à Poudlard, ce n’est certainement pas pour rien ! Il t’es arrivée quelque chose, plus jeune, quelque chose de terrible, et tu ne voulais pas en souffrir aujourd’hui. Alors laisse-moi la chance de te tenir compagnie, et de t’aider, car je sais que tu es une fille extraordinaire...

// La jeune Serdaigle lui avait chuchoté, aussi, à l’oreille, pour pas que les autres ne l’entendent. Oui, il y avait quelques curieux et curieuses qui jetaient de brefs coups d’œil en leur direction, mais en retour, la Noir et Argent leur jetait un regard noir en voulant dire de regarder son assiette ! Elle retendit alors la main à sa camarade, un petit sourire sincère, encore une fois, aux lèvres, et lui retendit sa main, qui quelques minutes plus tôt, avait failli être trouée. De plus, elle ne fuirait pas ! Non ! Elle devait affronter. //

[Arsenic Rosidae]

// La voix de la Serdaigle atteignit doucereusement l'esprit d'Arsenic. Le ton était si chuchoté qu'il lui fut difficile d'en apprécier tous les mots d'une traite. //

- Tu n’as pas d’amis et je le sais. Sauf peut-être un ou deux. Et moi, je reconnais en toi les qualités les plus profondément cachées. Donc que tu le veuilles ou non, oui tu es gentille. Ce masque que tu te fais depuis 7 ans, ici à Poudlard, ce n’est certainement pas pour rien ! Il t’est arrivée quelque chose, plus jeune, quelque chose de terrible, et tu ne voulais pas en souffrir aujourd’hui. Alors laisse-moi la chance de te tenir compagnie, et de t’aider, car je sais que tu es une fille extraordinaire..

- Je suis navrée de t'annoncer que tu fais fausse route. Oh mon passé est bien plus sombre que la couleur de mes yeux, mais je ne le renie pas. Je suis fière de mes actes et si je devais retourner à cette époque, je recommencerais sans une once de doute.

// À nouveau, elle regarda la main de sa camarade. Au moins, elle était courageuse ; elle ne redoutait donc pas la force de la vert et argent. Le visage de la fille aux cheveux violets accueillit un sourire sincère qui ne sut que dégoûter encore plus Arsenic. Cette dernière s'entêta à rire, de ce rire mesquin. La force de volonté de sa condisciple, qui ne semblait pas prête de plier, appelait sa pitié. Comment un être humain pouvait-il se rabaisser autant devant un de ses semblables ? L'humanité lui était à ce point étrangère. Elle ne souhaita plus s'attarder en compagnie d'une fille qu'elle aurait été incapable de raisonner sans devoir tuer quelqu'un sous ses yeux. Leur conversation était close, elle n'avait rien à ajouter. Pour marquer son départ et son refus définitif, elle donna un grand coup dans la main tendue devant elle. Les jointures de ses doigts avaient viré au blanc et son visage était redevenu le mur inaccessible, comme à l'habitude. //

- Reste dans ton monde idéal. Le mien est bien trop sombre pour un être aussi naïf que toi.

// Et sur ces propos, la jeune Rosidae quitta la Grande Salle, ne résistant cependant pas à l'envie d'apeurer un groupe de première année au passage. Lorsqu'enfin sa chevelure rouge vif disparut par l'embrasure de la porte, un soupir général se fit entendre dans l'immense pièce. //

[Maya Brown]

// Elle lui avait chuchoté si bas à l’oreille, qu’elle n’était pas sûre que sa camarade aie pu l’entendre. Elle n’était pas certaine non plus qu’avec ce qu’elle avait dit, la Serpentarde changerait d’opinion. Mais elle avait tout de même essayer. //

- Je suis navrée de t'annoncer que tu fais fausse route. Oh mon passé est bien plus sombre que la couleur de mes yeux, mais je ne le renie pas. Je suis fière de mes actes et si je devais retourner à cette époque, je recommencerais sans une once de doute.

// Finalement, elle avait raison. La fille n’avait pas voulu l’écouter. C’est bien dommage, mais cette fois-ci, son chant lui serait utile. Personne ne peut résister au chant des elfes. Elle ne l’utilisait que pour des buts comme ceux-ci ou quand elle était seule, avec personne aux alentours, pour se détendre.. Puis tout d’un coup, perdue dans ses pensées, elle reçu un violent choc dans sa main. La même main qu’elle présentait à la septième année. //

- Reste dans ton monde idéal. Le mien est bien trop sombre pour un être aussi naïf que toi.

// La Vert et Argent se leva et se dirigea pour de vrai, vers la sortie de la Grande Salle. Tout le monde la fixait et la suivait des yeux, apeurés, et quand elle disparu de leur champ de vision, ils soupirèrent tous de soulagement ! Mais par contre, la jeune Serdaigle n’était pas pour le moins du monde intimidée ou impressionnée ! Elle se leva elle aussi, et cette fois, c’est elle que les élèves regardait, mais elle courra en direction de l’autre fille et la rattrapa silencieusement. //

- Oh, je ne suis pas naïve. Toi non plus tu ne connais pas mon passé et ce que je fais ou j’ai fait. Je suis peut-être moins forte que toi en matière de méchanceté et d’intimidation, mais j’ai une arme bien plus forte.

// Elle sourit alors, la regarda dans les yeux. Et commença à chanter. Son chant d’elfe. La première étape de ce chant était toujours de paralyser la personne concernée. Ensuite, de lui faire tourner le regard, comme gênée ou intimidée. Et ensuite.. tout dépendait de ce que la personne avait, les actes pouvaient êtres différents. Par exemple, un ennemi avec une arme, il briserait par lui-même sa baguette ou son épée et oublierait toutes les formules et sortilèges possibles. Dans ce cas-ci, que se passerait-il ? //

[Arsenic Rosidae]

// À peine eut-elle franchi la porte qu'elle sentit sa présence dans son dos. Elle se retourna lentement, le front plissé. //

- Oh, je ne suis pas naïve. Toi non plus tu ne connais pas mon passé et ce que je fais ou j’ai fait. Je suis peut-être moins forte que toi en matière de méchanceté et d’intimidation, mais j’ai une arme bien plus forte.

// Allons bon ! Une arme plus puissante. Arsenic leva les yeux au ciel. Elle ne craignait rien ni personne. Son père l'avait entrainée des jours et des soirs entiers pour qu'elle devînt la fierté de la famille. Son ouïe avait été sur-développée par les nuits passées dehors, seule, à à peine sept ans. Elle se souvenait parfaitement de l'environnement peu accueillant, des craquements alentour et des hurlements d'animaux sauvages. Sans baguette pour l'éclairer, elle avait dû développer le talent de ses tympans pour survivre et surmonter ses peurs. Par ailleurs, tous les soirs, après qu'elle eut terminé ses cours particuliers auprès d'un précepteur, la jeune fille aux cheveux rouges avait eu le droit à des entrainements plus... actifs. Elle se battait avec ses poings, parfois avec un poignard, contre les sous-fifres de son père. C'était comme ça qu'elle avait rencontré Adrian d'ailleurs. Alors que cette Serdaigle pût penser prendre le dessus sur elle... Elle en aurait presque ri. Cependant, elle resta immobile, mi-amusée mi-impatiente de voir ce que sa camarade lui avait réservé. Toute trace de divertissement disparut lorsque la fille sourit. Pire encore, elle entonna un chant. La voix était certes agréable, mais elle ne comprit pas ce que l'autre attendait d'elle. La Serpentarde se contenta de soupirer. //

- Si tu es amoureuse de moi au point de me suivre dans les couloirs et de me chanter une sérénade... Dieu, arrête toi là avant que je ne te brise les cordes vocales. Ce serait un réel gâchis, je t'assure.

// Et d'un petit hochement de tête, elle prit congé de la bleu et bronze et disparut dans le dédale de corridors. //

[Ancien(ne)]

// Asia prit les ingrédients des mains de Weyna, et lui dit alors : //

- Bon, regarde, je vais te montrer comment je me débrouillais dans la forêt d’Albanie, avec des moyens rudimentaires pourtant !

// Il posa la moitié des ingrédients de Weyna, et lui expliqua en détail car il voulait avant tout apprendre aux autres, de manière amicale, afin qu’ils en gardent un bon souvenir de ce moment d’apprentissage. //

- Puis tu prends juste un peu de savon de crapaud, des huiles essentielles, un peu d’eau, de la bave de limace et le tour est joué !

// Asia sourit puis touillait le mélange à feu doux, quand soudain son sourire s’effaça. //

- Par ma cape albanaise ! Qu’est-ce qui se passe ?

// La potion faisait un bruit étonnant comme une fanfare de rue. Le jeune homme se retourna vers son amie interloqué. //

- Oh, je sais, j’ai oublier de souffler tout simplement, allez c’est parti !

// Il souffla sur la potion qui devint d’abord bleu, puis verte, et des milliers de petites bulles multicolores s’envolèrent dans les airs et l’on se demanda si Asia savait que les bulles de savon sont normalement incolores, mais ce n’est pas grave ! Elles étaient transparentes et un peu colorées.
Peu de temps après, Weyna l’air étonnée, se voyait dans l’obligation d’ouvrir grand la porte de la salle des potions. Asia, lui s’amusait comme un fou en éclatant les bulles une par une, et soufflant à nouveau, sur la potion avec joie. Il faisait l’idiot en montant sur les chaises et tables mais il eut la mauvaise idée d’éclater plusieurs bulles si bien que l’eau descendit sur son front et il se transforma aussitôt en renard... Courant vers Weyna, il demanda de sa voix renardesque : //

- Alors, que penses-tu de cette recette pour faire des bulles de savon ?

[Wyvern]

- Si tu es amoureuse de moi au point de me suivre dans les couloirs et de me chanter une sérénade... Dieu, arrête toi là avant que je ne te brise les cordes vocales. Ce serait un réel gâchis, je t'assure.

// Wyvern, caché dans la Grande Salle, avait tout entendu. Il sortit et courut sans faire attention à Maya Brown, pour rejoindre Arsenic. Il la chercha un petit peu au milieu des autres élèves, mais ne tarda pas à voir sa belle chevelure rousse se distinguer. Arsenic était facile à reconnaître. Elle était très souvent avec sa chouette. Il alla vers elle. Elle était entre deux statues. Wyvern ne parlait que rarement, seulement quand il assistait à une scène qui valait selon lui la peine de mettre son grain de sel. Celle-ci en était une. //

- Tu parles aux Serdaigles, depuis quand ? Tu ne m'a déjà à moi, qui suis Serpentard, jamais adressé la parole, et tu parles à une Serdaigle ? Où va le monde ?

// Il ne s'attendait pas à ce qu'Arsenic lui réponde. Elle le regardait maintenant droit dans les yeux. Plus le silence s'écoulait entre Arsenic et lui, plus il trouvait sa question idiote. Il avait l'impression qu'elle faisait tout pour le faire culpabiliser. Il se sentit bête, mais ne voulut pas décrocher son regard de celui de la Serpentarde, ce qui serait signe de faiblesse. //

** Elle est machiavélique, vraiment. **

[HRP : réponse devant la porte de la Grande Salle]

[Mirabelle]

// Mirabelle mangeait en silence dans la grande salle étonnamment calme. Il était tard et la plupart des élèves avait déjà rejoint leurs salles commune respective. Un livre sur les genoux, elle mangeait avec une lenteur que justifiait son occupation : elle devait réviser plusieurs interminables pages de théorie sur la divination, ce qui avait le don de l'exaspérer. Pourquoi avait-elle choisit divination comme option ? La Serdaigle poussa un long soupir. Malgré beaucoup d'efforts, Mirabelle avait du mal à se concentrer sur son manuel. Pourtant, la salle était silencieuse. Il y a avait juste quelques élèves qui se dépêchaient de finir leurs assiettes tandis que d'autres conversaient à voix basse. C'était le nouvel aspect du lieu qui perturbait la jeune Serdaigle. La moitié de la salle était bleue tandis que l'autre était rouge. Partout où Mirabelle mettait les yeux il y avait ces couleurs. Et pour cause, le match de Quidditch qui allait prochainement avoir lieu marquera le début de la coupe de Quiditch de cette année. Les premières maisons à s'affronter seront les Gryffondors et les Serdaigles.
Mirabelle ne ressentait pas l'excitation des autres élèves qui trépignaient en attendant le jour du match. Le quidditch la laissait indifférente, même si elle se rendrait quand même au stade dans quelques semaines pour regarder ses camarades virevolter dans les airs.
De grandes banderoles étaient accrochées un peu partout et des aigles bleus traversaient la salle à vive allure pour disparaître aussitôt dans un gerbe d'étincelles tout aussi bleues et silencieuses, tandis que des lions translucide bondissaient à travers la salle, suivit d'une flamme fantomatique. Le regard de Mirabelle s'arrêta sur une petite affiche écrite à la main avec " Vive les Gryffondor " inscrit dessus. L'écriture n'était pas très propre, son auteur ne pouvait être qu'un élève de première. Un petit lion avait même été dessiné avec application. La Serdaigle souriait seule en voyant l'affiche quand un mouvement à sa droite lui fit tourner la tête : un petit vif d'or voletait dans tout les sens. Il y en avait plusieurs dans la grande salle, des faux, mais lorsqu'un élève arrivait à en attraper un, il aurait droit à une surprise. Pour l'instant, personne à la connaissance de Mirabelle n'avait réussit. C'est sur cette pensée que Mirabelle avala sa dernière bouchée, reposa ses couverts, ferma son livre et sortit de la grande salle pour rejoindre son dortoir. //

[RP fini]

[Forkylning Lopjy]

[Rp avec Eona]

// Elle marchait dehors sur les dalles menant à la Grand Salle où elle espérait faire de nouvelle rencontre. Elle poussa la grand porte où quelques instants après se trouva la Grande Salle. Elle regarda autour d’elle pour voir s’il y avait quelqu’un. Après avoir regardai de droite à gauche de haut en bas personne. Devant elle se trouvait quartes grandes tables avec de grands bancs avec de nombreuses chandelles qui illuminaient la salle entière. Elle regarda en l’air et vit un somptueux plafond. Elle était toute excitée,c’est alors elle avança d’un pas incertain et rapide pour aller s’asseoir sur le banc des Serpentards. Elle posa son manteau sur le banc et mit ses mains sur la table. C’est alors qu’elle vit un fantôme sortir du sol et hurla : //

- AAAAAAAAAhhh à l’aide.

// Une personne avec un visage plutôt ridé dit : //

- Jeune Serpy tu ne dois pas avoir peur je ne veux pas te manger ! Je me présente je me nomme Le Baron Sanglant et je suis le fantôme de Serpentard.

// Forkylning avait les yeux en orbites et dit : //

- Un... un... un fantôme !!!

// Elle avait toujours eu peur de voir un jour sortir d’un sol un fantôme et le fantôme murmura : //

- Tous pareils ces jeunes !

// Forkylning rigola et dit : //

- Mais non je ne voulais pas te vexer c’est juste que c’est assez louche de voir quelqu’un sortir comme ça.

// Le Baron la regarda avec un sourire au coin de la bouche et répliqua : //

- Puisque tu n’as plus trop peur de moi et je vois que tu n’es plus entrain de pleurnicher je vais te montrer les autres fantômes qui m’accompagnent durant toute l'année et que tu verras surement lorsque tu mangeras.Ils surgiront de l'ombre ou de ton assiette pour te joué de mauvais tours.

// C’est alors qu’il se mit à siffler et tout à coup trois autres fantômes sortirent de part et d’autre et Le Baron dit : //

- Alors voici mes chers compagnons : Sir Nicholas de Mimsy, La Dame Grise ainsi que Le Moine Gras.

// Forkylning surprise de voir autant de fantôme elle était bouche-bée mais elle dit : //

- Wow vous êtes une famille super grande et avez tous un aspect sinistre qui me coup le souffle.

// C’est alors qu’elle se remit assise après toute ces émotions. Elle tendit l’oreille du côté de la porte et entendit des bruits de pieds. //

** Mais qui cela peut bien-être ? ** pensa Forkylning.

[Eona]

// C'était dans son lieu préféré : la bibliothèque, que la jeune fille étant si absorbé par l'histoire qu'elle dévorait, ne se rendit pas compte qu'elle fonçait tête droite dans un élève. Elle le heurta si fort qu'elle en eut le tournis. Après quelques minutes d'analyse ce jeune garçon lui cracha quelques vocifères et la menaça de déchirer son livre. Eona s'en mordit la langue, tellement la haine envers ce Serpentard était immense. Il n'y avait que Serpentard pour cracher un tel venin de méchancetés ! La jeune élève lui demanda poliment, avec sévérité, gentiment et même en criant de lui rendre son recueil, mais rien à faire, elle n'obtint pas son précieux ouvrage. C'est là qu'il couru en direction de la ... salle. Eona Loor ne se rendait jamais à la grande salle, les élèves ici étaient trop nombreux. Elle préférait le calme au brouhaha quotidien. Même si elle optait pour ne pas songer à ce qui l'attendait, la jeune fille s'en mordait les doigts tellement la peur de voir son livre malmené dans cette salle tant redouté la tourmentait et bien sûr les regards... elle marcha avec détermination vers son objectif. A une allure assez vive, Eona parcourait les couloirs. Elle jetait des coups d'oeil sur chaque tréfonds des corridors qu'elle arpentait en espérant une ouverture quelconque où ce Serpentard aurait pu cacher son trésor. Malheureusement cette jeune lectrice connaissait désormais presque tous les replis du château en particulier ceux qui se présentaient près du secteur de la bibliothèque. A cet instant elle coupa le rythme déchaîner de ses jambes folles, pour se redresser droit comme un piquet et d'avaler une grande goulée d'air. Elle fut enfin prête. Foulée par foulée elle traversa la porte colossal qui se présentait à elle. De ses yeux verts, Eona Loor maintenant devenu impassible et froide scruta la pièce de ces élèves tous préoccupés à un besoin précis sauf un, qui la fixa. //