[Spécial Ancien lieu du ministère

[Maldi]

// Maldi, jeune sorcière, peu obéissante sauf quand elle le veut et c'est très rare, a eu quelques mésaventures pendant ces vacances et c'est en plein mois de décembre, juste avant les fêtes, qu'elle doit y faire face. * La galère, juste avant Noël, je suis maudite !! *. Pour tout vous raconter, elle a eu un groupe de garçons inconscients, idiots, méchants, mal brossés * et en plus ils puaient. *venant l'embêter pour s'amuser. Ils la rackettaient , jouaient avec elle et en plus l'insultaient. Autant vous dire tous de suite, qui'ils étaient moldus. Quand je dis " étaient moldus ", eh bien c'est que maintenant il ne sont plus que des mollusques rampants dans les jupes de leurs mères chérie.
Et oui, elle a osée, elle leurs a lancé un sort de métamorphose. Bon, elle a bien lancé son sort. Surtout qu'elle devait le maîtriser. Mais bon, l'heure n'est pas à parler de ces acquis.
Quelques heures après ce sort, elle reçoit la fameuse lettre du ministère de la magie. Qui lui dis qu'elle a enfreint les règles et qu'elle recevra une autre lettre pour une audience .//
// Maintenant vous savez tous !! Mais à force de papoter avec vous, elle en retard et commence à courir pour pas être à l'heure. Mais soudain, et elle percute une personne. Et entend un bruit sourd et cristallin en même temps. Elle se retourne pour voir les dégâts. Et Horreur, une boule de verre par terre, cassée.//

- dés..désolé, je...les pas...pas fait exprès!

//Réussi t'elle à sortir. Il faut savoir que la divination et maldi, c'est une grande histoire d'amour. Elle dois à cette matière plus qu'à une autre. Autant dire que c'est la seule, qu'elle est brillante. Et donc, cassée une boule, c'est sacrilège pour elle. Enfin vous voyez le drame. Honteuse, la jeune fille attendit la punition. //

[Isara]

// La journée avait mal commencé pour la serdaigloise, il n'y avait aucune raison pour que cela s'améliore, aussi cela ne l'étonna pas quand elle se fit percuter par une mini tornade.

Les fêtes approchaient et les vacances étaient là. Elle était donc rentrer chez elle et avait retrouver avec plaisir, l'ambiance sereine que sa mère entretenait dans leur maison. De plus, elle n'avait plus à se cacher et pouvait être elle-même pour un temps, certes bref, mais appréciable tout de même.

Malheureusement son père, trop autoritaire, avait rapidement gâché ce moment. Il lui avait bien fait comprendre combien il était déçu par ses écarts, bien trop nombreux à son goût. Sa douce mère ne s'était pas mêlé à la discussion et était restée en retrait comme d'habitude. Meren voyait dans son regard, si similaire au sien, sa désapprobation mais elle savait que sa mère ne s'opposerait pas à son père quoiqu'il dise.
Elendil l'avait donc recruté d'office pour faire des corvées au ministère. Le brillant auror ne pardonnait pas l'erreur et sa fille s'était retrouvée à classer de la paperasse toute la journée et ceux pendant toutes les vacances. Du coup, elle avait hâte que la rentrée arrive et de retourner à Poudlard.

Elle était donc en train de transporter un carton remplie de papiers, inutiles pour la plupart dans une main et une boule de cristal dans l'autre, quand elle fit percuter. Et parce que ça n'aurait pas été humain de ne rien laisser tomber, elle préféra laisser échapper la boule de cristal plutôt que la pile de feuille qu'elle venait de trier. //

- dés..désolée, je...l'ai pas...pas fait exprès!

// La septième année sourit à la jeune fille, qui semblait catastrophée. Il faut dire que dans son tailleur recouvert par une robe noire, elle ressemblait à une parfaite employée du ministère. //

- Pas de soucis, c'est juste une boule de cristal...

// La Bleue-et-Bronze incanta et la boule de cristal se répara et atterrit dans sa main. Elle s'apprêtait à poursuivre son chemin quand elle se rendit compte que ce n'était pas très polie. //

- Tu ne t'es pas blessée, tu as besoin d'aide ?

[Maldi]

// La boule de cristal toucha le sol, en un son cristallin et sourd ! La jeune femme a qui appartenait la boule, semblé préoccuper plus par la pile de papier qu'à autre chose. Elle sortit sa baguette et répara la boule de cristal.....c'est chouette la magie ! //

- Pas de soucis, c'est juste une boule de cristal...

// Juste......juste une boule de cristal...*reste zen, ma fille! * Maldi n'était du tout d'accord, avec une boule cristal, on pouvait faire plein de choses, comme voir l'avenir, les prochains contrôles, y voir sa personnalité, et encore plein de chose. Enfin, bon pendant que Maldi réfléchissais à tous ça, elle n'avait pas remarquer qu'elle avait froid au jambe, elle commença à bouger pour éviter de prendre froid. Mais le froid persisté, elle commença à regarder, mais voyant une couleur rouge vif, elle fut piquer au vif et regarda attentivement. De fine coupure, dû au verre, lui descendre sur les mollets. Entre temps, elle entendit : //

- Tu ne t'es pas blessée, tu as besoin d'aide ?

- Oui, je me suis coupée aux jambes !! Tu sais où c'est l'infirmerie ??

// Pendant, que Maldi attendit d'entendre la réponse. La jeune gryffondor se remémora la première fois où elle vu le sang. Elle pense qu'elle devait avoir 5 ans, elle avait passé sa journée à jouer dehors, sa mère lui avait dit de rentrer pour le dîner, mais elle les avait désobéi comme toujours. Elle continua toujours et encore, jusqu'à qu'il fasse noir dans le jardin. Il faut savoir c'est que le jardin était à côté d'une mini forêt. Elle se rappelait qu'elle avait trébuché et roulé par terre. Sa jambe avait été touchée et la sang chaud se rependait sur les feuilles rousses. Et la nuit, qui avait totalement recouvert la forêt, elle ne retrouvait pas le bon chemin pour rentrer chez elle. Elle tourna en rond pendant un moment avant de fondre en pleure. Mais heureusement, sa mère et son père sont arrivés à temps! //

[Isara]

[Pour, le PNJ de Meren, j'utilse #6E0B14]

- Oui, je me suis coupée aux jambes !! Tu sais où c'est l'infirmerie ??

// Meren regarda les jambes de sa camarade, en effet, celle-ci était écorchée à plusieurs endroits, certaines coupures étaient d'ailleurs assez profondes. La septième année culpabilisa d'avoir lâché la boule plutôt que le papier, pas pur intérêt. Du coup, elle s'intronisa direct sigisbée de la jeune fille. Elle s'approcha et la soutint pour l'aider à marcher. Elle se servit de sa force hors norme, pour porter sa camarade sans que cette dernière s'en doute. //

- Je vais t'accompagner.

// La Bleue-et-Bronze se sentait un peu gênée et décida pour une fois, de faire preuve d'un peu de gentillesse. Elle aida sa condisciple à avancer, doucement, la guidant jusqu'à l'ascenseur. //

- Au fait, tu es une élève de Poudlard, non ? J'y suis aussi en septième année, à Serdaigle. Je m'appelle Merenwen Lossëhelin, mais tu peux m'appeler Meren, ce sera plus simple !

// Le jeune femme devait vraiment s'en vouloir. Il n'était pas dans ses habitudes de se dévoiler autant et d'éprouver autant de compassion pour une personne. Elle éprouvait, bien souvent, plus d'empathie pour les animaux ou les plantes.

Elle se tourna vers sa condisciple, pour voir comment elle se sentait. Elles arrivaient au niveau de l’ascenseur et Meren pria pour qu'une fois, il ne soit pas blindé. Elle ne voulait pas que la blessé soit bousculée et que ses coupures s'aggravent. Enfin, avec la magie, ce n'était pas dramatique mais comme c'était arrivé par sa faute, elle s'e voulait déjà bien assez. //

[Maldi]

- Oui, je me suis coupée aux jambes !! Tu sais où c'est l'infirmerie ??

- Je vais t'accompagner.

// Sans lui laisser le temps de répondre quoi que se soit, sa sauveuse l'aida marcher jusqu'à l'infirmerie. On pouvais dire adieu à l'audience et bonjour à la l'infirmière. Décidément c'était pas son jour de chance et voilà qu'elle allait devoir des comptes à quelqu'un. Car il faut savoir que Maldi déteste les dettes et comme dis le proverbe " les bons comptes font les bons amis ". Pendant le voyage, la jeune gryffondor se mit à détailler discrètement la jeune fille qui l'accompagne. Elle a la peau pâle et les cheveux brun ondulé. De très beau yeux bleu-gris, qui s'accorde beaucoup avec son visage et ses cheveux. Non sans remarquer qu'elle était plus âgé qu'elle et d'ailleurs il fallait être bigleux pour ne pas voir le sérieux dans ces yeux et la frustration sur son visage. Elle aussi devait avoir une mauvaise journée ou alors c'était de sa faute si la jeune femme devait perdre un temps précieux. Plus elle y réfléchissait, plus elle culpabilisait. En même temps, Maldi discuter avec elle.//

- Au fait, tu es une élève de Poudlard, non ? J'y suis aussi en septième année, à Serdaigle. Je m'appelle Merenwen Lossëhelin, mais tu peux m'appeler Meren, ce sera plus simple !

-Oui, je suis en première année, dans la maison de Gryffondor. Je m'appelle Maldi Rosà....toi c'est Meren ? C'est jolie! c'est la prémière fois que j'entend un prénom comme ça, cela dit pourquoi faire simple quand on peut faire originale ? Je suis heureuse de te rencontrer Meren, surtout je suis heureuse que tu sois à Poudlard, j'avais peur de tomber sur une fonctionnaire très pressée. Une petite curiosité, ferait-tu un stage ici ou c'est pour le plaisir que tu viens au ministère, habillé en tailleur ?

// Après ce long monologue, elle regarda sa sauveuse de ces yeux bleu. Elle devait surement se dire qu'elle était piplette et surtout curieuse. pendant ce temps, le chemin jusqu'à l'infirmerie s'amenuisé petit à petit. Et l'ascenseur n'était pas trop remplit.Peut être que cette journée se finirait bien? Qui sait ? //

[Isara]

-Oui, je suis en première année, dans la maison de Gryffondor. Je m'appelle Maldi Rosà....toi c'est Meren ? C'est jolie! c'est la prémière fois que j'entend un prénom comme ça, cela dit pourquoi faire simple quand on peut faire originale ? Je suis heureuse de te rencontrer Meren, surtout je suis heureuse que tu sois à Poudlard, j'avais peur de tomber sur une fonctionnaire très pressée. Une petite curiosité, ferait-tu un stage ici ou c'est pour le plaisir que tu viens au ministère, habillé en tailleur ?

// Un éclair d'agacement traversa le regard perçant de la septième année. Elle détestait ce genre de réaction à son prénom. Elle maudit intérieurement son père pour la énième fois de la journée. Comment voulait-il qu'elle se fonde dans la masse avec un tel patronyme ? La Serdaigle choisit d'ignorer le commentaire et de s'intéresser plutôt à la fin de la tirade de sa camarade. //

- Mes parents travaillent au Ministère et il paraît que c'est bon pour moi de trier de la paperasse pendant toute la durée des vacances. Je n'en suis pas vraiment persuadée mais je n'ai pas le choix.

// Meren continuait de soutenir sa camarade tout en avançant rapidement. Elle se débrouilla pour réorienter le sujet vers sa camarade, peu habituée à perler d'elle et très mal à l'aise de devoir le faire. //

- Et toi, que viens-tu faire ici ? Il est étrange de croiser des élèves de Poudlard au Ministère à cette période.

// Elles étaient arrivées et Meren frappa sur la sorte de simandre qui permettait d'avertir l'infirmière d'une visite. Le bruit fut tel, qu'elle du se boucher les oreilles. Son ouïe ultra sensible, avait peu apprécié le traitement.

La septième année se dit qu'elle avait suffisamment jouer son rôle et qu'elle pouvais maintenant abandonner sa jeune camarade à l'infirmière. //

- Je vais t'aider à t'allonger et ensuite je dois retourner travailler, désolée.

// Elle soutint sa condisciple jusqu'au lit et la laissa là, avant de s'éloigner sans un regard un arrière. //

[Fin RP]

[Cassiopee]

[Début de RP entre Loreliese Laners (Cassiopée) et James Mendelssohn (Hilde)]

et

// Le ministère grouillait de monde lorsque Loreliese était arrivée. Trois heures plus tard, elle devait bien avouer que le lieu avait été... déserté. Il était vrai que les horaires de consultations des membres du département de la justice magique étaient délirants et très peu conventionnels.

Ou alors, ils avaient fait fuir tout le monde à coups de 'remplissez le formulaire F, pour avoir le formulaire Centaure alpha, pour ensuite avoir celui avec les jolies étoiles et finir avec le dictionnaire des expressions sorcières à travers les âges pour comprendre le formulaire ultime, le formulaire sans nom'. Mais bien entendu, dans le tourbillon des formulaires, il est connu que vous finissez toujours par achopper à un endroit ou un autre.

Du coup, le fait d'avoir ce niveau du bâtiment du ministère vide était... logique. //

- Totalement logique. Marmonna-t-elle.

// Elle évita de justesse un monsieur qui courrait en hurlant que sa femme était innocente et qu'elle n'avait jamais, ô grand jamais, empoisonné quelqu'un avec ses cookies mais qu'elle était juste mauvaise cuisinière.

Loreliese attendit prudemment que ce dernier rentre dans un bureau et referme la porte avant d'éclater de rire. Peut-être devrait-elle déposer l'une ou l'autre carte de visite pour sa pâtisserie en devenir... Histoire de faire de la publicité pour ses cours de cuisine.

Le couloir était de nouveau désert. Elle sortit donc ses cartes et en déposa sur un présentoir. Juste entre 'la justice magique pour les nuls' et 'Le magenmagot de M à T'. //

- Quitte à ce qu'ils me mettent des bâtons administratifs dans les roues, ils me feront de la publicité.

// Craignant que quelqu'un n'arrive et ne comprenne ce qu'elle traficotait, elle se remit doucement en marche. Elle avait encore quelques heures à passer ici... //

[Hilde]

// En tant que membre du Service des Usages Abusifs de la Magie, il était rare que James se trouvât dans les locaux-même du Ministère. Il avait souvent à faire sur le terrain, en enquête ou en interpellation. Néanmoins, depuis sa promotion au poste d'Inspecteur, il avait bien plus de paperasse, de supervision et de gestion qu'auparavant. Au début, il passait donc au minimum une demi journée par jour à roder dans les couloirs... et surtout à signer des autographes en bas de parchemins officiels pour les rendre encore plus officiels. Ou bien assis silencieusement à assister à des discussions de service "essentielles". Des réunions, quoi.

Malheureusement, ces dernières ne permettaient pas de faire avancer les choses. Sauf en temps de crise, ou de problème majeur. Dans ces cas là, les gens faisaient preuve de plus d'investissement, ils venaient renseigné sur les sujets à l'ordre du jour et se sentaient concerné par les mots échangés.
Rapidement, James avait tapé du poing sur la table. Devant la qualité de son travail, il avait pu se permettre quelques prises de position. Cela n'avait payé qu'à moitié. Pour qu'il leur fiche la paix, ses supérieurs l'avaient autorisé à se contenter de deux réunions hebdomadaires : lundi et vendredi à 14h30. Ils n'avaient pas compris que le message était davantage "bossons bien ensemble et cessons de perdre du temps pour les planqués". Ainsi, il n'y avait que deux demi journées pendant lesquelles on pouvait trouver Mr Mendelssohn au Ministère.


Tout ce blabla que vous venez de lire ; ces deux paragraphes descriptifs et imbuvables (qui assument parfaitement ne pas être de l'Apollinaire)... A quoi servent-ils ? Regardez le calendrier. Oui, nous sommes un jeudi. Ni lundi, ni vendredi, mais jeudi. Ce qui explique peut-être l'état de l'homme qui venait d'entrer dans le couloir où patientait Loreliese...

Plus en pétard qu'un scrout. James fulminait. Il venait de perdre DEUX heures alors que la situation était grave. Un petite plaisantin s'amusait à suspendre en l'air des moldus en pleine rue. Ce genre de cas était très vite identifié et réglé. Mais là, le délinquant avait expressément spécifié que ce n'était qu'un début : il comptait faire pire si le Ministère ne cédait pas à ses conditions. Un vilain chantage. Qui savait jusqu'où ce type pouvait aller ? Il fallait le neutraliser, point barre. Mais plutôt que de ce concentrer sur l'opérationnel et de laisser gérer les gars de la communication pour les discours, on polémiquait en réunion. Insupportable.

Le pas de l'inspecteur était vif, sec et nerveux. Il ne regardait que vaguement e qu'il avait devant lui : plongé dans sa réflexion. Ses petites cellules grises s'agitaient comme des molécules d'eau dans un micro-onde en fonctionnement : il planifiait les actions à entreprendre.
Du coup, il ne vit qu'au dernier moment la dame. Il allait trop vite pour stopper sa marche et entreprit plutôt un mouvement d'évitement... qui le fit percuter la table sur laquelle reposaient les cartes de visites. Bravo, well done. Tout était mélangé. What a mess. //

- Mais qui a placé ça là ? C'est inimaginable tant de bêtise !

// Il s'énervait tout seul alors que personne n'était à blâmer. S'il avait été une femme on l'aurait assurément soupçonné d'être en "période rouge". En parlant de femme, il se retourna vers celle qui était présente. //

- Vous ne pouvez pas faire attention ? Il y en a qui travaillent et qui sont pressés, ici.

// Ce comportement était irrespectueux et très loin de la personnalité réelle de James. Mais comment la Dame pouvait-elle le savoir ? //

[Cassiopee]

// Loreliese était en train de fouiller dans son sac après son listing de rendez-vous. Elle devait encore voir trois personnes. Avec un peu de chance, ils seraient plus coopératifs que le petit vieux qui venait de lui refuser un agrément étrange dont elle n'avait aucune idée de l'utilité. Petit vieux qui lui avait également prédit qu'elle allait faire faillite car la pâtisserie c'était totalement démodé.

La rouquine n'en démordrait pas. Une pâtisserie illégale depuis des années n'allait pas faire faillite du jour au lendemain juste en devenant légale. Elle avait son cercle d'habitués et d'accros aux sucreries. Et elle était désormais fournisseur officielle du bureau des aurors. Ça aidait à la maintenir une certaine activité journalière. Sans compter les évènements tels que les anniversaires, réussites d'ASPIC et de BUSE au château de Poudlard et même les échecs. Elle avait récemment reçu une commande d'un certain monsieur O'Neill qui voulait féliciter sa fille pour tripler sa septième. Il lui avait demandé une montagne de pavlovas. Loreliese avait immédiatement su de qui on parlait. Cassiopée était une cliente régulière et probablement monomaniaque en matière de pavlova.

Soudain, un bruit attira son attention. Elle eut juste le temps de se retourner pour voir la table sur laquelle elle avait placé ses cartes tomber à terre. L'homme s'exclama en moins de temps qu'il n'en faut pour dire 'vous êtes condamné' : //

- Mais qui a placé ça là ? C'est inimaginable tant de bêtise !

// Loreliese sursauta. Il semblait vraiment en colère. Une colère sourde et passablement... intimidante. Il la blâmait certainement pour sa collision à en croire son regard noir et ses sourcils froncés dans sa direction. //

- Vous ne pouvez pas faire attention ? Il y en a qui travaillent et qui sont pressés, ici.

// Loreliese fit d'instinct un pas en arrière pour se retrouver à quelques centimètres seulement du mur derrière elle. Elle leva les mains en signe d'apaisement - et au cas où il tenterait quelque chose de violent. //

- Je travaille aussi. Du moins, j'essaie de faire en sorte que vos collègues m'aident à travailler correctement. Je suis là pour des conseils juridiques pour les sociétés naissantes. Et pour les bêtises... Je vais les ramasser. Peut-être que quelqu'un d'autre pourrait être intéressé par elles. Ne vous inquiétez pas. Je ne serai plus dans vos pattes.

// Loreliese tenta un sourire apaisant même si elle aurait préféré fuir loin. Très loin. Il était vraiment intimidant quand il était furieux. //

- Promis. Plus d'attention et moins de squattages sauvages de couloirs. Avez-vous une salle d'attente ?

// L'ancienne gryffondor avait un peu peur de sa réaction. Mais elle ne pouvait pas sortir de baguette magique en cas de danger réel, elle ne l'avait jamais avec elle. Et se pencher face à lui alors qu'il était dans cet état était aussi une mauvaise idée. Elle allait attendre un peu avant de faire le rangement promis. //